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PSG Arsenal (2-1) : Les 11 Points Clés a Retenir de Cette demi Final de LDC
La nuit du 7 mai 2025 restera gravée dans les annales du Paris Saint-Germain et de la Ligue des Champions. Au terme d’une demi-finale retour d’une intensité rare face à une équipe d’Arsenal pugnace et déterminée, le club de la capitale a validé son billet pour la finale à Munich en s’imposant 2 buts à 1 (score cumulé : 3-1).
Paris, France – La nuit du 7 mai 2025 restera gravée dans les annales du Paris Saint-Germain et de la Ligue des Champions. Au terme d’une demi-finale retour d’une intensité rare face à une équipe d’Arsenal pugnace et déterminée, le club de la capitale a validé son billet pour la finale à Munich en s’imposant 2 buts à 1 (score cumulé : 3-1). Devant un Parc des Princes incandescent, les hommes de Luis Enrique ont fait preuve de caractère, de résilience et d’un réalisme froid pour venir à bout de vaillants Gunners qui auront longtemps cru à l’exploit. Ce match, riche en émotions et en tournants, offre une multitude d’enseignements. Voici les 11 points essentiels à retenir de cette confrontation épique qui ouvre au PSG les portes d’une nouvelle finale de Ligue des Champions.
1. L’Entame Canon d’Arsenal : Un Avertissement Sans Frais pour Paris
Dès le coup d’envoi, Arsenal a affiché ses intentions. Forts d’un déficit d’un seul mais à remonter, les Londoniens ont mis une pression énorme sur la défense parisienne. Le pressing haut et intense des Gunners a considérablement généré la relance courte du PSG, accumulée dans ses 30 mètres durant les premières minutes. Les occasions se multiplient sur le but de Gianluigi Donnarumma, sollicité à plusieurs reprises. Declan Rice, d’une tête sur corner, puis Gabriel Martinelli, sur une frappe puissante, ont donné des sueurs froides aux supporters parisiens. Martin Ødegaard a également testé la vigilance du portier italien d’une frappe lointaine. Cette entame de match a démontré la force de caractère d’Arsenal et a rappelé au PSG que cette qualification serait un long combat.
2. Gianluigi Donnarumma, le Mur Italien : Un Facteur X Majeur
S’il ya un homme qui symbolise la résistance parisienne face à la tempête londonienne, c’est bien Gianluigi Donnarumma. Le gardien italien a été stratosphérique en première période, réalisant des parades décisives qui ont maintenu le PSG à flot. Ses interventions face à Martinelli et Ødegaard, notamment, ont été déterminantes. Déjà impeccable lors du match aller à l’Emirates Stadium, « Gigi » a confirmé son statut de roc infranchissable dans les moments clés. Sa présence rassurante et ses arrêts spectaculaires ont instillé le doute dans les rangs d’Arsenal et ont permis à ses coéquipiers de ne pas craquer sous la pression. Sans un grand Donnarumma, le scénario de la rencontre aurait pu être bien différent.
3. La Froidueur Clinique du PSG : L’Art du Contre et du Réalisme
Malgré la domination territoriale et les occasions d’Arsenal, le PSG a su faire le dos rond et piquer au bon moment. À l’image de leur saison sous les ordres de Luis Enrique, les Parisiens ont démontré une efficacité redoutable en transition rapide. Alors qu’ils subissent, une opportunité s’est présentée sur coup de pied arrêté. Et c’est là que le réalisme parisien a frappé.
4. Fabian Ruiz, le Coup de Canon Libérateur : L’ouverture du Score Cruciale
Contre le cours du jeu, le Paris Saint-Germain a ouvert le score à la 27ème minute par l’intermédiaire de Fabian Ruiz. Sur un ballon mal dégagé par la défense d’Arsenal à la suite d’un coup franc, l’international espagnol, d’une reprise de demi-volée magistrale aux abords de la surface, a envoyé le ballon hors de portée de David Raya. Un mais somptueux qui a transpercé la densité défensive des Gunners et a fait chavirer le Parc des Princes. Cette réalisation, la première de Fabian Ruiz en Ligue des Champions, est intervenue à un moment crucial et a obligé Arsenal à revoir ses plans.
5. Le Bilan Mitigé du Milieu Parisien Face au Pressing Intensif d’Arsenal
Le milieu de terrain parisien, composé de Vitinha, João Neves et Fabian Ruiz, a souffert face à l’intensité du pressing d’Arsenal en début de match. La sortie de balle a été compliquée, entraînant des pertes de balle dangereuses dans leur propre moitié de terrain. Cependant, le trio a su progressivement s’adapter et trouver des solutions, notamment en utilisant mieux la largeur et en s’appuyant sur la vision du jeu de Vitinha et les projections de Fabian Ruiz. João Neves, malgré son jeune âge, a fait preuve d’une belle abnégation à la récupération.
6. L’Apport Essentiel des Joueurs de Couloir : Kvaratskhelia et l’Impact des Entrants
Bien qu’Ousmane Dembélé n’ait pas débuté la rencontre, Khvicha Kvaratskhelia a apporté sa percussion et sa capacité à créer le danger sur le flanc gauche. Sa frappe enroulée qui a heurté le poteau a rappelé sa qualité technique. L’entrée en jeu d’Ousmane Dembélé en seconde période a été déterminante. Sa vitesse et sa capacité à éliminer ont apporté un nouveau souffle à l’attaque parisienne, et c’est d’ailleurs lui qui a été à l’origine du second but. L’impact des joueurs sortis du banc souligne la richesse de l’effectif parisien et la justesse des choix de coaching.
7. Achraf Hakimi, le Poignard sur le Flanc Droit : Le But du Break
À la 72ème minute, le Paris Saint-Germain a fait le break grâce à un but d’Achraf Hakimi. Idéalement lancé par Ousmane Dembélé, le latéral marocain s’est projeté vers l’avant et, d’une frappe croisée précise, à trompé David Raya pour la deuxième fois de la soirée. Ce mais, magnifiquement construit et exécuté, a permettra de sceller le sort de la rencontre et a récompensé la capacité du PSG à exploiter les espaces laissés par une équipe d’Arsenal plus exposer alors qu’elle tentait de revenir au score.
8. Le Mental d’Arsenal : Ne Jamais Baisser les Bras
Malgré le coup de masse du deuxième but parisien, Arsenal n’a jamais abdiqué. Les Gunners ont continué à pousser et ont été récompensés de leurs efforts à la 76ème minute par Bukayo Saka. L’ailier anglais a profité d’un ballon qui traînait dans la surface pour réduire le score et redonner de l’espoir à son équipe. Ce mais a relancé le suspense et a montré la force mentale de cette jeune équipe d’Arsenal.
9. Le Tournant du Penalty Manqué : Vitinha et l’Arrêt de Raya
Avant le but d’Hakimi, le PSG aurait pu prendre une avance plus confortable si Vitinha n’avait pas manqué son penalty. Accordé après consultation de la VAR pour une main dans la surface, le penalty a été repoussé par David Raya, auteur d’une belle parade. Ce moment aurait pu être un tournant psychologique pour Arsenal, mais le PSG a su rapidement réagir en inscrivant le deuxième mais peu de temps après.

10. L’Expérience Parisienne Face à la Jeunesse d’Arsenal
Dans les moments chauds de la rencontre, l’expérience de certains joueurs parisiens, comme Marquinhos en défense centrale ou même le sang-froid de Donnarumma, à fait la différence. Face à une équipe d’Arsenal talentueuse mais peut-être un peu plus tendre dans la gestion des grands rendez-vous européens, le PSG a su naviguer dans les eaux troubles et tenir bon. La capacité à gérer la pression et à rester concentré dans les instants cruciaux est un atout indéniable des grandes équipes, et le PSG l’a démontré.
11. Une Victoire Collective et la Patte Luis Enrique
Au-delà des individualités, c’est la force collective du Paris Saint-Germain qui a prévalu. Les Parisiens ont fait preuve d’une grande solidarité défensive, compensant les moments de moins bien par des efforts collectifs et une discipline tactique retrouvée. La patte de Luis Enrique est de plus en plus visible : une équipe capable de s’adapter à l’adversaire, de souffrir ensemble et de faire mal en transition. Cette victoire est le fruit d’un travail d’équipe et de la capacité du staff à tirer le meilleur de chaque joueur.
Voici quelques statistiques clés du match pour illustrer l’analyse : Statistique PSG Arsenal Possession 39% 61% Tirs 10 19 Tirs cadrés 5 4 Objectifs attendus (xG) 1,5 3.14 Coins 3 8 Fautes 12 10
Ces statistiques sont basées sur les informations disponibles et peuvent varier légèrement selon les sources. Joueurs Clés But Passes décisives Tirs Tirs Cadrés Fabian Ruiz (PSG) 1 0 1 1 Achraf Hakimi (PSG) 1 0 1 1 Bukayo Saka (Arsenal) 1 0 3 2 Ousmane Dembélé (PSG) 0 1 1 0 Vitinha (PSG) 0 0 2 1 (pénalité manquée) Gianluigi Donnarumma (PSG) 0 0 0 N/A (Arrêts : 3+) David Raya (Arsenal) 0 0 0 N/A (Arrêts : 3+)
Ces statistiques individuelles sont indicatives et basées sur les événements marquants.
En Route Vers Munich : Le Défi de l’Inter Milan en Finale
Cette qualification en demi-finale ouvre au Paris Saint-Germain les portes de la finale de la Ligue des Champions, où les attendent l’Inter Milan. Les Nerazzurri ont validé leur place en s’imposant au terme d’une double confrontation spectaculaire face au FC Barcelone (score cumulé : 7-6 après prolongation). La finale, qui se tiendra à l’Allianz Arena de Munich le 31 mai 2025, promet d’être un affrontement passionnant entre deux équipes aux styles différents. Le PSG, porté par son attaque rapide et sa capacité à transpercer les défenses, devra se mesurer à la solidité défensive et à l’efficacité offensive de l’Inter Milan. Après avoir surmonté l’obstacle Arsenal, le Paris Saint-Germain se retrouve à une marche du rêve ultime, le titre de Champion d’Europe. Le défi est immense, mais la détermination parisienne semble à la hauteur de l’événement.
Cette demi-finale retour entre le PSG et Arsenal a été un véritable spectacle de football, riche en suspens et en émotions. Le Paris Saint-Germain, malgré une entame de match difficile, a su faire preuve de caractère et de réalisme pour s’imposer et se qualifier pour la finale. La performance XXL de Donnarumma, la justesse tactique de Luis Enrique et l’efficacité des attaquants parisiens ont été les clés de ce succès. Arsenal, malgré une belle performance, n’a pas réussi à concrétiser ses nombreuses occasions et voit son rêve de Ligue des Champions s’arrêter là. Le PSG, lui, peut désormais se tourner vers Munich avec l’ambition d’aller chercher la première Ligue des Champions de son histoire. La confrontation face à l’Inter Milan s’annonce d’ores et déjà palpitante.
BMW
BMW Skytop 2026 : 5 raisons pour lesquelles son V8 de 625 ch est un doigt d’honneur magistral à l’ère électrique
Alors que l’industrie automobile vire au tout électrique, BMW lance la Skytop, un roadster ultra-exclusif animé par un V8 surpuissant de 625 ch. Simple nostalgie ou coup de génie stratégique ? Nous analysons les 5 raisons qui font de cette voiture un véritable manifeste, un objet de collection instantané et une réponse audacieuse aux désirs d’une clientèle en quête d’émotions pures

Le silence se fait. Sur les rives du lac de Côme, lors du Concorso d’Eleganza Villa d’Este, le monde automobile retient son souffle. Dans une industrie obsédée par l’autonomie en kilomètres et le silence assourdissant de l’électrique, BMW a fait le choix inverse. Celui du bruit, de la fureur et de la passion. La Skytop 2026 n’est pas qu’une simple étude de style, sa production en série ultra-limitée, estimée entre 50 et 100 exemplaires, vient d’être confirmée. Sous son capot ne se cache pas une batterie, mais un V8 bi-turbo de 4.4 litres hérité de la M8 Competition. Une mécanique de 625 chevaux qui sonne moins comme un moteur que comme une déclaration. Un véritable acte de résistance. Loin d’être une décision passéiste, ce choix est un coup de génie stratégique, un doigt d’honneur assumé à la pensée unique. Et voici pourquoi.
Un Manifeste Contre l’Uniformité Sonore

La première raison est la plus viscérale, la plus évidente. C’est celle qui se ressent dans la poitrine avant même de se comprendre avec la tête. Le son. À l’heure où la voiture devient un objet de mobilité aseptisé, le V8 de la Skytop rappelle à tous ce qu’est une automobile d’exception : une symphonie mécanique. Chaque démarrage à froid, chaque montée en régime est une expérience sensorielle que le plus performant des moteurs électriques ne pourra jamais répliquer. BMW n’a pas seulement implanté un moteur, la marque a offert une âme à la Skytop. Ce n’est pas juste un bruit, c’est le timbre d’une époque, la voix d’une ingénierie qui a fait rêver des générations de passionnés. En choisissant ce V8, BMW ne vend pas une voiture, mais un billet pour le dernier opéra thermique, un spectacle acoustique d’une richesse inouïe, réservé à une poignée de privilégiés qui considèrent encore que le son fait partie intégrante du plaisir de conduire.
La Célébration d’un Sommet d’Ingénierie Thermique

Ne vous y trompez pas, le V8 de la Skytop n’a rien d’une relique. Il s’agit du moteur S63, l’une des mécaniques les plus sophistiquées et abouties jamais produites par la division M. C’est l’apogée de décennies de recherche et de développement. Parler de « vieux monde » serait une insulte. C’est une pièce d’orfèvrerie qui combine injection directe de haute précision, deux turbocompresseurs logés dans le « V » pour un temps de réponse minimal, et une capacité à délivrer sa puissance de manière explosive et pourtant parfaitement maîtrisable. Abandonner une telle maîtrise technologique au nom de l’électrification serait un non-sens industriel et culturel. Avec la Skytop, BMW met son chef-d’œuvre sous verre, le célébrant comme l’acmé d’une ère. C’est un message clair : nous savons encore faire des moteurs qui font l’histoire, et nous sommes fiers de cet héritage. Fiche Technique Le Cœur de la Bête (Estimation basée sur la BMW M8 Competition) Moteur V8 bi-turbo (S63) Cylindrée 4 395 cm³ Puissance approx. 625 ch à 6 000 tr/min Couple approx. 750 Nm de 1 800 à 5 600 tr/min Technologie Injection directe, Valvetronic, Double VANOS, 2x turbos TwinScroll
Un Positionnement Stratégique à Contre-Courant
Alors que la concurrence s’interroge, voire se renie, à l’image de Mercedes-AMG qui a osé le quatre cylindres hybride dans sa C63, BMW joue une partition radicalement différente. La Skytop est un « halo car » au sens le plus pur du terme. Son but n’est pas de faire du volume, mais de redéfinir le sommet de la pyramide BMW. C’est une démonstration de force et de confiance. À l’heure où l’Union Européenne pousse ses normes toujours plus loin et où les constructeurs chinois inondent le marché de leurs technologies électriques, BMW rappelle où se situe son ADN : dans le plaisir de conduire, le « Sheer Driving Pleasure ». Ce V8 est une arme marketing, un moyen de dire à sa clientèle la plus fidèle et la plus fortunée : « Nous ne vous avons pas oubliés. Nous savons encore ce qui vous fait rêver ». C’est un acte qui renforce l’image de marque bien plus efficacement que n’importe quelle campagne publicitaire.
La Création d’un Objet de Collection Instantané

Le choix du V8 est le catalyseur qui transforme une belle voiture en un investissement. Une production limitée à moins de 100 exemplaires avec un design aussi réussi est déjà la recette d’une future icône. Mais couplez cela au V8 le plus puissant de la marque, à l’aube d’une ère où ce type de moteur sera interdit, et vous obtenez un placement financier. La Skytop est pensée dès sa conception comme un futur lot vedette des ventes aux enchères de 2050. Chaque kilomètre parcouru sera un dilemme pour son propriétaire, entre le plaisir de l’utiliser et la nécessité de la préserver. Elle rejoint un club très fermé de machines exceptionnelles qui célèbrent le moteur à combustion comme une forme d’art. Le Club Exclusif Les Derniers Mohicans à Moteur V8 (2024-2025) Modèle BMW Skytop Spécificité Le chant du cygne du V8 M dans un roadster ultra-exclusif Concurrent 1 Aston Martin Valour Spécificité Hommage V12 et boîte manuelle, l’autre résistance britannique Concurrent 2 Ford Mustang GTD Spécificité La brutalité américaine, un V8 Supercharged pour la piste
Une Réponse aux Désirs d’une Clientèle Oubliée

Enfin, et c’est peut-être le point le plus important, la BMW Skytop 2026 est une réponse. Une réponse aux critiques sur les designs clivants des dernières années. Une réponse à l’angoisse d’une partie de la clientèle qui se sentait délaissée, voire trahie, par le virage électrique. Le design de la Skytop, hommage évident à la sublime Z8 et à l’élégante 503, est un retour aux sources, un quasi-consensus. En y plaçant son V8 le plus noble, BMW ne fait pas que rassurer, la marque offre une récompense. C’est un dialogue direct avec le cœur de sa communauté, un geste qui dit : « Nous vous avons entendus. Voici la voiture que vous attendiez. » C’est la preuve que même un géant industriel peut encore écouter et livrer une machine mue par l’émotion pure, et non uniquement par les tableurs des comptables ou les directives des législateurs. La Skytop n’est pas une voiture du passé ; c’est la preuve que l’émotion a un avenir, et qu’il rugit encore très fort.
NOUVELLES
Les 3 chiffres fous de la Panamera Turbo S E-Hybrid que même Porsche a hésité à communiquer
Avec 782 ch, un 0-100 en 2.9s et 91km d’autonomie électrique, la nouvelle Porsche Panamera Turbo S E-Hybrid n’est plus une berline. C’est un monstre. Voici les chiffres qui le prouvent.

Il y a les chiffres que l’on attend, ceux que l’on espère, et puis il y a les autres. Ceux qui semblent être des erreurs de frappe, des anomalies statistiques si violentes qu’elles redéfinissent à elles seules les frontières du possible. La nouvelle Porsche Panamera Turbo S E-Hybrid de 2025 n’est pas simplement une voiture ; c’est un manifeste roulant, articulé autour de données si extrêmes qu’on imagine sans peine les réunions houleuses à Zuffenhausen. Des chiffres que le département marketing a probablement dû relire à trois fois, se demandant s’il ne fallait pas les atténuer pour ne pas effrayer le monde. Car derrière la fiche technique se cache une vérité simple : cette Panamera n’est plus une simple berline sportive. C’est un prédateur, un monstre de technologie qui force à se poser une question : ont-ils été trop loin ?
Le Chiffre 1 : La Puissance d’un Hypercar dans un Gant de Velours

Le premier chiffre est une déclaration de guerre : 1000 Newton-mètres de couple. Ce n’est pas une puissance, c’est une force de la nature. Pour visualiser, imaginez la force nécessaire pour faire pivoter un petit sous-marin. Voilà ce que le V8 biturbo de 4.0 litres et le nouveau moteur électrique génèrent ensemble. Associé à une puissance combinée de 782 chevaux, ce chiffre propulse la Panamera hors de la stratosphère des berlines de luxe pour l’envoyer directement sur les terres de chasse gardée des hypercars les plus exclusives. On parle d’un niveau de performance qui, il y a moins d’une décennie, était l’apanage de la 918 Spyder, le porte-étendard ultime de la marque. La « hésitation » de Porsche ici n’est pas une faiblesse, c’est une question de positionnement. Comment justifier l’existence d’une gamme de super-sportives quand votre berline familiale développe une force de frappe supérieure ? C’est un véritable séisme dans la hiérarchie interne. Modèle Motorisation Puissance (ch) Couple (Nm) Porsche Panamera Turbo S E-Hybrid (2025) V8 Hybride Rechargeable 782 1000 Porsche Panamera Turbo S (G2) V8 Biturbo 630 820 Mercedes-AMG GT 63 S E Performance V8 Hybride Rechargeable 843 1400+ BMW M8 Competition Gran Coupé V8 Biturbo 625 750
Le Chiffre 2 : Le Mur des 3 Secondes Pulvérisé en Smoking

Le deuxième chiffre est celui qui fait taire les sceptiques : 2,9 secondes pour atteindre 100 km/h. Une berline de plus de 2,3 tonnes, capable d’accueillir quatre adultes dans un confort absolu, qui pulvérise le 0 à 100 plus rapidement que de nombreuses Ferrari ou Lamborghini. C’est une absurdité mécanique, une défiance aux lois de la physique rendue possible par une synergie parfaite. Le couple instantané du moteur électrique catapulte la masse dès le premier millimètre, éliminant tout temps de réponse des turbos du V8, qui prennent ensuite le relais dans un déferlement de violence inouï. La transmission intégrale et la boîte PDK s’assurent que pas une seule once de cette furie n’est perdue en fumée. On imagine la scène : un ingénieur présente le résultat des tests au conseil d’administration. Un silence. En interne, commercialiser une berline qui humilie sur l’exercice roi de l’accélération certaines de vos propres 911 n’est pas une décision anodine. C’est affirmer que l’avenir de la performance chez Porsche passe désormais par des chemins inattendus et électrifiés.
Le Chiffre 3 : L’Autonomie Électrique qui Redéfinit le Grand Tourisme

Voici le chiffre qui change tout : 91 kilomètres. C’est l’autonomie estimée en mode 100% électrique grâce à sa nouvelle batterie de 25,9 kWh. Et c’est peut-être le chiffre le plus subversif des trois. Pourquoi ? Parce qu’il transforme radicalement la mission de la voiture. La Panamera Turbo S E-Hybrid n’est plus seulement un monstre de performance pour le week-end ; elle devient un véhicule quotidien parfaitement silencieux et zéro émission pour la majorité des trajets domicile-travail. Cette dualité est sa plus grande force et potentiellement, la source de la plus grande « hésitation » de Porsche. Comment vendre un badge « Turbo S », historiquement synonyme de performance brute et sans compromis, sur une voiture qui peut être aussi douce et vertueuse qu’un véhicule purement électrique ? C’est le grand écart idéologique. Porsche ne vend plus seulement de la vitesse, mais une polyvalence absolue, un couteau suisse capable de chuchoter en ville et de hurler sur l’Autobahn. Modèle Capacité Batterie (brute) Autonomie Électrique (WLTP) 0-100 km/h Porsche Panamera Turbo S E-Hybrid (2025) 25.9 kWh ~91 km 2.9 s Mercedes-AMG GT 63 S E Performance 6.1 kWh ~12 km 2.9 s Range Rover Sport P550e 38.2 kWh ~112 km 4.9 s BMW XM 29.5 kWh ~88 km 4.3 s
Ces trois chiffres ne sont pas que des lignes sur une fiche technique. Ils sont le témoignage d’une mutation. Porsche a conçu une berline qui n’a plus besoin de se comparer. Elle a la puissance d’un hypercar, les accélérations d’une supercar et la pertinence quotidienne d’un véhicule électrique. Le design lui-même, plus tendu, avec ses ailes galbées et son aileron adaptatif complexe, n’est plus là pour simplement séduire, mais pour maîtriser ces performances d’un autre monde. Finalement, la « hésitation » que l’on prête à Porsche n’était sans doute pas de la peur, mais le vertige que l’on ressent face à sa propre création. La marque a prouvé que c’était techniquement possible, mais la vraie question est désormais : le monde est-il prêt pour une berline qui n’a plus rien à envier à personne ?
MC20
Maserati MC20 First Edition : une voiture de sport brutale de MANSORY

La Maserati MC20 First Edition 2023 est une voiture de sport brutale préparée par Mansory. Avec son moteur V6 de 3,0 litres, elle délivre une puissance de 720 chevaux et un couple de 850 Nm, propulsant la voiture de 0 à 100 km/h en seulement 2,7 secondes. La vitesse de pointe impressionnante atteint les 330 km/h, faisant de la MC20 une véritable bête sur la route.
En plus de sa puissance impressionnante, la Maserati MC20 est équipée d’une transmission à double embrayage à 8 rapports, offrant des changements de vitesse rapides et fluides pour une expérience de conduite ultime.
Mansory a également mis l’accent sur le design intérieur et extérieur de la MC20, ajoutant sa touche distinctive pour en faire une voiture encore plus exclusive. Pour en savoir plus sur cette création de Mansory, rendez-vous sur leur site web officiel : https://www.mansory.com/
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