CONCEPTS & RENDUS
La Toyota Supra GR subit une transformation spectaculaire grâce au nouveau kit de carrosserie signee Evrim Ozgun
La Toyota Supra, qui a été introduite pour la première fois à la fin des années 1970, est devenue l’une des voitures les plus populaires parmi ceux qui apprécient le style de réglage JDM. Cependant, la voiture a également fait l’objet de nombreuses controverses ces dernières années.
La première génération A40/50 était essentiellement une Toyota Celica plus grande. La deuxième génération (A60) était une refonte majeure, avec des phares différents et une partie avant plus à la mode. La troisième génération (A70) est arrivée en 1986, et depuis lors, la Supra est devenue sa propre voiture de sport indépendante.
La génération A80 de la Toyota Supra, lancée en 1993, est largement considérée comme celle qui a établi la réputation de la voiture en tant qu’icône du style tuning au Japon. La renaissance 2019 de la Supra, avec sa cinquième génération, a de nouveau choisi de s’écarter radicalement du passé, en s’associant à la BMW Z4 et en étant fabriquée à l’usine Magna Steyrusine de Graz, en Autriche.
Cette nouvelle a suscité beaucoup d’indignation parmi les fans de l’A80 Supra. Heureusement, tout le monde dans le secteur des voitures de sport de style JDM résiste à l’assaut de la Nissan Z 2023. Certaines personnes pensent que quelques mises à jour pourraient être nécessaires, d’autant plus que la version A91-MT qui donne accès à la boîte manuelle est beaucoup plus chère que la Z.
Certains des concepteurs ont probablement ressenti le besoin de prendre les choses en main et d’utiliser leurs compétences en CGI pour créer des conceptions rafraîchissantes et adaptées. Evrim Ozgun, un concepteur de voitures virtuelles originaire de Turquie, en est un bon exemple. Il a récemment décidé d’utiliser CGI pour rafraîchir et ajuster une conception Euro-JDM.
La Toyota GR Supra a fait peau neuve et est désormais disponible dans une couleur grise ou marron. Il est également désormais disponible avec une option Widebody.
CONCEPTS & RENDUS
Volkswagen Scirocco 2026 : Le Cahier des Charges d’une Renaissance Attendue pour Dominer le Segment Sportif
Le retour du VW Scirocco en 2026 est-il envisageable ? Plongez dans notre cahier des charges détaillé pour un coupé sportif qui doit allier héritage, design audacieux et motorisations d’avenir (électrique, hybride) pour reconquérir les passionnés.

Le nom seul évoque une époque, une silhouette, une promesse de sportivité accessible et de design audacieux. Le Volkswagen Scirocco, icône des années 70, 80 et revenu en force dans les années 2000, demeure un véhicule culte pour de nombreux passionnés. Alors que le marché automobile se transforme en une vitesse fulgurante, l’idée d’un nouveau Scirocco pour 2026 enflamme les esprits. Mais comment Volkswagen pourrait-il orchestrer un retour qui ne soit pas seulement un hommage nostalgique, mais une véritable conquête du marché ? Nous avons dressé un cahier des charges ambitieux, mêlant les attentes légitimes des aficionados aux réalités industrielles et écologiques actuelles, pour un Scirocco 2026 qui mettra tout le monde d’accord.
L’Héritage Scirocco, Une Base Solide pour l’Avenir

Avant de dessiner les contours du futur, il est impératif de comprendre l’ADN du Scirocco.
- La première génération (1974-1981) , signée Giorgetto Giugiaro, a marqué son temps par ses lignes tendues, son profil de coupé fastback et son agilité. Elle offre une alternative séduisante à la Capri ou à la Manta.
- La deuxième génération (1981-1992) , bien que moins consensuelle stylistiquement, a poursuivi cette philosophie avec des motorisations plus cossues et un caractère affirmé.
- La troisième génération (2008-2017) a su brillamment réinterpréter les codes, offrant un design musclé, des motorisations performantes (notamment le Scirocco R de 265 ch) et un châssis dérivé de la Golf GTI, gage d’efficacité. Ce dernier opus a prouvé qu’un coupé sportif avait encore sa place au sein de la gamme Volkswagen.
C’est cet équilibre entre style distinctif, plaisir de conduite et praticité relative qui doit impérativement irriguer la conception du modèle 2026.
Le Contexte de 2026 : Électrification, Concurrence et Attentes Clientèles

En 2026, le paysage automobile sera encore plus tourné vers l’électrification. Les normes environnementales seront renforcées, et les attentes des consommateurs en matière de technologie embarquée et de durabilité seront prépondérantes. Un nouveau Scirocco ne pourra ignorer ces tendances.
- Le marché des coupés sportifs : Ce segment, bien que de niche, conserve des adeptes fidèles. Des modèles comme la future Alpine A110 électrique, la potentielle Toyota Celica, ou même des offres premium comme les BMW Série 2 Coupé ou Audi TT (si son lignage se poursuit sous une forme ou une autre) constitueront une concurrence à considérer. Le Scirocco devra offrir un positionnement clair et attractif .
- Statistiques de ventes des coupés : Bien que les SUV dominants, les coupés sportifs compacts ont maintenu une part de marché stable auprès d’une clientèle spécifique, souvent plus jeune ou recherchant un deuxième véhicule plaisir. Selon les données de JATO Dynamics pour l’Europe, avant la pandémie, ce segment représentait environ 1,5% à 2% des ventes totales, avec des photos pour les modèles à forte image comme le Scirocco en son temps.
- L’impératif de l’électrification : Volkswagen s’est engagé massivement dans sa stratégie ID. Un Scirocco 2026 devra, au minimum, proposer une version 100% électrique performante. La question d’une offre hybride rechargeable, voire d’une version ultime thermique pour les puristes (si la réglementation le permet encore de manière viable), reste ouverte.
Cahier des Charges Détaillé pour le Volkswagen Scirocco 2026
Pour que ce retour soit un triomphe, voici les points clés que nous estimons cruciaux :
1. Un Design Extérieur Émotionnel et Identitaire

- Fidélité à l’esprit, pas à la lettre : Le Scirocco 2026 ne doit pas être une copie néo-rétro de ses aînés, mais une réinterprétation moderne et audacieuse . Il doit évoquer l’héritage par ses proportions : un capot long et plongeant, un pare-brise incliné, une ligne de toit fuyante et un arrière musclé et ramassé.
- Signature lumineuse distinctive : À l’avant, des optiques LED Matrix effilées, vraisemblablement reliées par un bandeau lumineux intégrant le logo VW (comme sur la gamme ID.). À l’arrière, des feux larges et sculptés, également à LED, affirmant la largeur et l’assise du véhicule.
- Proportions athlétiques : Une faible hauteur (idéalement sous 1,40m), une largeur généreuse (autour de 1,85m) et des porte-à-faux courts. Des jantes d’au moins 18 pouces en entrée de gamme, et jusqu’à 20 pouces sur les versions sportives, avec des designs spécifiques et aérodynamiques.
- Travail aérodynamique soigné : Essentiel pour l’efficacité (surtout en électrique) et la stabilité à haute vitesse. Des éléments comme un diffuseur arrière prononcé, des écopes d’air fonctionnelles et un spoiler de toit intégré seraient bienvenus.
- Palette de couleurs audacieuses : Propose des teintes vives et iconiques (comme le fameux « Viper Green » de la génération précédente) aux côtés de couleurs plus sobres mais élégantes.
2. Un Habitacle Sportif, Technologique et Raffiné

- Ambiance cockpit : L’intérieur doit être résolument tourné vers le conducteur. Une console centrale légèrement orientée, des sièges baquets sport (avec options de maintien renforcé et sellerie en Alcantara ou cuir durable) et un volant sport à méplat avec commandes tactiles réactives.
- Technologie de pointe, intégration discrète :
- Un Digital Cockpit Pro de dernière génération, personnalisable, affichant les informations de conduite essentielles et spécifiques aux modes de conduite (par exemple, un mode « Track » avec chronomètre et indicateur de G).
- Un système d’infodivertissement central avec écran tactile de grande taille (12 à 15 pouces), réactif, intuitif, compatible Apple CarPlay et Android Auto sans fil, et intégrant les services connectés VW (We Connect).
- Un affichage tête haute avec réalité augmentée serait un plus indéniable.
- Qualité des matériaux et finitions : Des plastiques moussés de haute qualité, des inserts en aluminium brossé ou en carbone (selon les finitions), et un assemblage irréprochable. L’utilisation de matériaux recyclés et durables serait un argument fort.
- Habitabilité optimisée : Bien qu’un coupé 2+2, les places arrière devraient pouvoir accueillir convenablement des adultes sur de courts trajets, ou des enfants plus régulièrement. Le coffre, tout en privilégié le style, devrait offrir un volume décent (autour de 300-350 litres), avec une banquette rabattable pour plus de polyvalence.
3. Des Motorisations Performantes et Adaptées à l’Ère Moderne


C’est ici que le défi est le plus grand : satisfaire les puristes tout en embrassant l’avenir. Nous préconisons une gamme multi-énergies si possible, ou une transition électrique particulièrement soignée.
- Option 1 : Le Scirocco 100% Électrique (e-Scirocco GTX)
- Basé sur une version évoluée de la plateforme MEB (potentiellement MEB Evo ou la future SSP – Scalable Systems Platform).
- Configurations propulsion (pour le fun) et transmission intégrale (pour l’efficacité et la performance GTX).
- Batterie de dernière génération (80-100 kWh) pour une autonomie WLTP d’au moins 500 km .
- Architecture 800V pour des recharges ultra-rapides (10-80% en moins de 20 minutes).
- Les puissances s’échelonnent de 250 kW (environ 340 ch) à plus de 320 kW (environ 435 ch) pour une version GTX, capable d’un 0-100 km/h en moins de 4,5 secondes.
- Un sound design spécifique , sportif et engageant, mais distinct d’une motorisation thermique.
- Option 2 : Le Scirocco Hybride Rechargeable Performant (e-Hybrid R)
- Une motorisation combinant un bloc thermique essence (1.5 TSI Evo2 ou 2.0 TSI) à un moteur électrique puissant, pour une puissance cumulée dépassant les 300 ch.
- Une batterie permettant une autonomie en tout électrique d’au moins 80-100 km WLTP , pour les trajets quotidiens.
- Des performances de premier plan et une consommation mixte très basse. Ce serait un excellent compromis.
- Option 3 (plus hypothétique) : Un Scirocco Thermique Sportif « Dernière Vague »
- Si la réglementation et la stratégie de VW le permettent, une version équipée du 2.0 TSI EA888 Evo4 (celui de la Golf VIII GTI/R), avec des puissances allant de 245 ch à une version « R » de plus de 300 ch, couplée à une boîte DSG7.
- Ce serait un baroud d’honneur pour les amateurs de sensations mécaniques pures, mais sa viabilité commerciale et environnementale à long terme est discutable.
4. Un Châssis et un Comportement Routier à la Hauteur de la Légende
- Agilité et précision : Le Scirocco doit être une voiture agréable à conduire , offrant un excellent retour d’information. Une direction progressive et précise est indispensable.
- Suspension adaptative DCC Pro : Permettant de choisir entre différents modes (Confort, Sport, Individuel), avec un typage résolument plus sportif que sur une Golf. Un mode « Nürburgring » comme sur la Golf R serait un clin d’œil apprécié.
- Différentiel à glissement limité : Électronique (XDS) sur les versions traction, et un véritable différentiel actif sur les versions plus puissantes ou à transmission intégrale pour optimiser la motricité en sortie de virage.
- Gestion du poids : Crucial, surtout pour la version électrique. L’utilisation de matériaux légers (aluminium, composites) pour la structure et la carrosserie sera nécessaire pour maintenir un poids contenu et préserver l’agilité. Un centre de gravité bas est une évidence.
5. Positionnement Stratégique et Tarification

- Un coupé sportif premium accessible : Le Scirocco ne doit pas se positionner comme un concurrent direct des coupés de luxe inaccessibles, mais plutôt comme une offre distinctive et passionnante dans le segment des sportives compactes.
- Tarification :
- Version électrique d’entrée de gamme : à partir de 48 000 – 52 000 € (en ligne avec les tendances des VE performants du segment C/D).
- Version e-Hybrid R : à partir de 55 000 €.
- Version e-Scirocco GTX : viser les 60 000 – 65 000 €.
- (Hypothétique) Version thermique : à partir de 45 000 €. Ces tarifs le placeraient en compétiteur crédible face à des modèles comme la Cupra Born VZ, la Hyundai Ioniq 5 N (bien que plus crossover), ou de futures propositions d’autres marques généralistes visant le haut de gamme.
Ce qu’il Faut Absolument ÉVITER pour le Scirocco 2026
- Un simple rebadgeage : Le Scirocco ne doit jamais être une Golf recarrossée sans âme . Il doit avoir sa propre identité stylistique et un typage châssis spécifique.
- Un design timide ou consensuel : L’audace a toujours caractérisé le Scirocco. Un dessin fade serait une trahison.
- Compromettre la sportivité au nom de la polyvalence excessive : C’est un coupé, pas un SUV. Le plaisir de conduire et le style doivent primer.
- Une technologie datée ou une interface utilisateur frustrante : Les attentes sont élevées ; le système d’infodivertissement et les aides à la conduite doivent être à la pointe.
- Une version électrique aux performances ou à l’autonomie décevantes : Si VW opte pour l’électrique, ce doit être avec conviction et des caractéristiques de premier plan.
- Le transformateur en Crossover-Coupé : Le Scirocco est et doit rester un coupé bas et race. Le marché des SUV-Coupés est déjà saturé, et ce ne serait pas respectueux de son héritage.
Un Pari Audacieux mais Potentiellement Gagnant

Relancer le Scirocco en 2026 est un défi de taille pour Volkswagen. Cela exige une vision claire, de l’audace créative et des investissements conséquents . Cependant, en respectant son héritage tout en embrassant pleinement les technologies et les attentes de demain, comme détaillé dans notre cahier des charges, Volkswagen a l’opportunité de non seulement faire revivre une icône, mais de redéfinir le coupé sportif populaire pour la nouvelle ère automobile. Les passionnés attendent, le marché offre une place, à Volkswagen de jouer et de nous offrir un Scirocco qui, une fois de plus, mettra tout le monde d’accord par son charisme et ses performances . Un tel véhicule ne se contenterait pas de surfer sur la nostalgie ; il créerait son propre mythe pour les générations futures.
AUTOMOBILE
Et Si Facel Vega Avait Survécu ? La HK500 de 2025 qu’on a Imaginée pour Vous !
Et si Facel Vega n’avait jamais disparu ? Plongez dans notre design-fiction exclusive et imaginez le HK500 de 2025 : une réinterprétation moderne de l’icône du Grand Tourisme français, alliant son ADN légendaire aux technologies du futur. Un rêve automobile à découvrir

L’histoire de l’automobile est pavée de légendes, de succès fulgurants et, hélas, de nobles déchus. Facel Vega, joyau de l’industrie française du luxe et de la performance des années 50 et 60, appartient à cette dernière catégorie. Avec ses lignes sculpturales, son opulence intérieure et ses V8 américains tonitruants, la marque incarne un « Grand Tourisme » à la française, aussi élégant que performant. La HK500, son modèle le plus emblématique, était la voiture des stars, des industriels et des connaisseurs, « Pour ceux qui veulent le meilleur », comme le clamait son slogan. Mais que serait-il arrivé si Jean Daninos, le visionnaire derrière Facel Vega, avait réussi à naviguer les écueils financiers et les défis techniques ? Si la flamme ne s’était jamais éteinte ?
Aujourd’hui, en ce printemps 2025, nous nous prêtons au jeu de l’uchronie automobile. Avec la complicité d’Alexandre Theron, designer automobile de renom (que nous avons imaginé pour cette fiction), connu pour sa capacité à marier héritage et futurisme avec une sensibilité unique, nous avons esquissé les contours d’une Facel Vega HK500 contemporaine. Une machine qui respectait l’ADN original tout en embrassant les codes et les technologies de notre époque.
L’ADN Inimitable de la HK500 Originelle

Avant de sculpter le futur, il est crucial de comprendre l’essence du passé. La Facel Vega HK500 (1958-1961) n’était pas une voiture comme les autres. Elle était le fruit d’une alchimie audacieuse : l’élégance et le savoir-faire français en matière de carrosserie et de luxe intérieur, propulsés par la puissance brute et la fiabilité (relative) du V8 Chrysler.
- Un Design qui Traverse le Temps : Jean Daninos, issu de l’aéronautique, a insufflé à ses créations une présence statutaire. La HK500, c’était d’abord une silhouette : un long capot abritant le cœur américain, un habitacle reculé aux montants fins offrant une visibilité panoramique (ah, ce pare-brise !), et une poupe courte et musclée. La calandre verticale, les optiques parfois superposées (sur les premières versions FV), puis le regard plus affirmé de la HK500, les chromes (ou plutôt l’acier inoxydable, spécialité de Facel) savamment dosés soulignaient un luxe sans ostentation, mais avec une assurance indéniable.
- Un Écrin de Luxe et de Technologie (d’époque) : Ouvrir la portière d’une HK500, c’était pénétrer dans un salon roulant. Le cuir pleine fleur côtoyait des boiseries somptueuses (souvent des panneaux métalliques peints en trompe-l’œil avec un réalisme bluffant par des artisans spécialisés) et un tableau de bord inspiré de l’aviation, constellé de cadrans et de basculeurs. Chaque détail respirait le luxe artisanal, loin de la production de masse.
- Le Souffle du V8 : Sous le capot, les blocs Chrysler, allant jusqu’à 6,3 litres et développant jusqu’à 360 chevaux SAE, offriraient des performances de premier ordre. La HK500 était l’un des coupés quatre places les plus rapides du monde, capable de croiser à des vitesses incontournables aujourd’hui, dans un confort souverain. C’était la quintessence du Grand Tourisme : traverser les continents avec style, rapidité et distinction.
La Vision d’Alexandre Theron

Pour notre designer fictif, Alexandre Theron, la tâche est immense. « Ressusciter Facel Vega, et plus particulièrement la HK500, ne consiste pas à faire un simple exercice de style néo-rétro », explique-t-il avec passion. « Il s’agit de capturer l’esprit d’innovation, l’audace et le positionnement unique de la marque. Facel Vega n’était pas timide. Elle était une affirmation. La HK500 de 2025 doit provoquer le même émoi, le même sentiment d’exclusivité et de puissance maîtrisée. »
Les défis sont multiples : comment évoquer les lignes tendues et les proportions si spécifiques sans tomber dans la caricature ? Comment intégrer les technologies actuelles – sécurité, connectivité, motorisation – sans dénaturer l’âme luxueuse et mécanique de l’originale ?
« Le fil conducteur », poursuit Theron, « c’est cette tension créative entre l’élégance française et une certaine brutalité sophistiquée. La voiture doit être belle, indéniablement, mais aussi impressionnante, presque intimidante. Et elle doit conserver ce caractère de ‘super GT’ polyvalente, capable d’enchaîner les kilomètres sur autoroute comme de parader devant le casino de Monte-Carlo. »
Extérieur : La Modernité Sublimée par l’Héritage

La silhouette générale conserve le long capot et la cabine reculée, mais les lignes sont plus épurées, sculptées par les lois de l’aérodynamisme moderne.
- La Face Avant : La calandre verticale, signature de Facel, est réinterprétée. Plus large, plus affirmée, elle intègre des éléments pour optimiser le refroidissement et la pénétration dans l’air. De chaque côté, les optiques full LED évoquent subtilement le regard des HK500, peut-être avec une signature lumineuse rappelant les « moustaches » chromées d’antan. Le capot, toujours aussi long, présente des bossages discrets, suggérant la puissance qu’il abrite.
- Le Profil : Le pare-brise panoramique est un incontournable, utilisant les dernières technologies de verre intelligent, capable de s’obscurcir ou d’afficher des informations en réalité augmentée. Les flancs sont lisses, parcourus par une ligne de caractère tendue qui court de l’aile avant à la poupe musclée. Les poignées de porte sont affleurantes, et les rétroviseurs sont remplacés par des caméras profilées. Les jantes, de grand diamètre (21 ou 22 pouces), arborent un design complexe inspiré des roues à rayons Robergel, mais en alliage léger forgé.
- L’Arrière : La poupe est courte, puissante, avec des feux LED horizontaux très fins qui s’étirent sur toute la largeur, rappelant l’assise de l’originale. Un diffuseur discret en fibre de carbone apparente souligne la sportivité, tandis que les sorties d’échappement (si échappement il ya, nous y reviendrons) sont intégrées avec élégance.
- Matériaux : La carrosserie ferait largement appel à la fibre de carbone et à l’aluminium pour contenir la masse, mais des touches d’acier inoxydable poli, clin d’œil à l’expertise originelle de Facel, seraient présentes sur la calandre, l’entourage des vitres et certains détails intérieurs.
ADN HK500 – La Traduction 2025
Élément Clé Original (HK500 1958-61) | Concept d’interprétation HK500 (2025) | Impact Recherche |
Calandre verticale imposante | Calandre élargie, active, inserts en inox poli | Signature identitaire, modernité technologique |
Pare-brise panoramique | Verre panoramique intelligent, affichage tête haute avancée | Luminosité, visibilité, intégration technologique |
Capot long, cabine reculée | Proportions conservées, lignes fluidifiées, aérodynamisme optimisé | Élégance intemporelle, performance |
Chromes/Acier inoxydable abondants | Accents d’inox poli sur carrosserie et intérieur, fibre de carbone | Luxe subtil, lien historique, modernité |
Feux arrière distinctifs | Bandeau LED horizontal, signature lumineuse évoquant les formes passées | Modernité, largeur visuelle, reconnaissance |
Jantes spécifiques (Robergel) | Jantes forgées grand diamètre, design inspiré, technologie moderne | Caractère, performance, allure |
Intérieur : Le Luxe Français à l’Ère Numérique
L’habitacle de la HK500 (2025) se veut une réinterprétation moderne du concept de « salon roulant ».
- Ambiance et Matériaux : Le cuir pleine fleur, provenant de tanneries françaises appliquant des procédés durables, est omniprésent. Il est associé à des inserts en bois précieux issus de forêts gérées durablement, ou, plus audacieux, à des matériaux composites innovants imitant l’aspect et le toucher de matières naturelles rares. L’aluminium brossé et l’inox poli remplacent le chrome clinquant. L’éclairage d’ambiance personnalisable permet de créer une atmosphère unique.
- Tableau de Bord et Technologie : Fini la profusion de cadrans. Un grand écran incurvé personnalisable s’étend derrière un volant au design épuré, mêlant cuir et métal. Cet écran peut afficher des compteurs au style rétro-futuriste ou des informations de navigation et de divertissement. Une console centrale flottante abrite des commandes haptiques discrètes. L’intelligence artificielle gère de nombreuses fonctions, anticipant les besoins du conducteur et des passagers. Le souci du détail irait jusqu’à proposer une horlogerie signée par une grande maison française, intégrée au centre du tableau de bord.
- Confort et Artisanat : Les sièges, véritables fauteuils, offrent un maintien et un confort exceptionnels, avec des fonctions de massage et de climatisation avancées. L’espace aux places arrière, bien que coupé, serait généreux pour deux adultes. Chaque pièce serait assemblée et finie à la main, perpétuant la tradition d’excellence artisanale de Facel Vega.
Quelle Motorisation pour une Légende en 2025 ?

C’est la question la plus épineuse. Le V8 Chrysler était essentiellement lié à l’identité de la HK500. Que choisir en 2025, à l’heure de la transition énergétique ? Alexandre Theron imagine plusieurs pistes, reflétant un débat interne passionné au sein de « Facel Vega Reborn » :
- L’Option Nostalgique Modernisée : Un V8 biturbo de dernière génération, peut-être issu d’un partenariat avec un motoriste américain de prestige (clin d’œil à l’histoire) mais profondément retravaillé pour offrir une sonorité envoûtante et des performances de premier plan (plus de 700 ch), tout en respectant les normes d’émissions les plus strictes grâce à une hybridation légère.
- L’Option Hybride Haute Performance : Un V6 ou un V8 plus compact, associé à un ou plusieurs moteurs électriques puissants, pour un couple instantané colossal et la possibilité de rouler en mode tout électrique en ville. Une solution alliant l’émotion du thermique à l’efficacité moderne.
- L’Option Totalement Électrique (la plus audacieuse) : Une architecture 800V, deux ou trois moteurs électriques développant une puissance cumulée de plus de 800 ch et un couple phénoménal. Des batteries de nouvelle génération à haute densité énergétique assureraient une autonomie digne d’une Grand Tourisme (plus de 600 km). Le défi serait de conserver une « âme », peut-être via un design sonore spécifique ou une gestion de la puissance procurant des sensations uniques.
« Pour la HK500 de 2025 », confie Theron, « j’opterais pour une solution électrique de très haute performance . Ce serait le choix le plus en phase avec l’esprit pionnier de Facel Vega. Jean Daninos n’hésitait pas à adopter des solutions techniques audacieuses. Une HK500 électrique offrirait ce couple instantané et cette puissance démesurée qui caractérisaient l’originale, mais dans un silence et une fluidité qui redéfiniraient le Grand Tourisme de luxe. L’absence de vibrations du V8 serait compensée par une expérience sensorielle différente, axée sur le design, le toucher des matériaux, et une connexion plus directe à la route. »
Comparatif Spécifications (Estimations) : HK500 (1961) vs. HK500 Concept (2025)
Caractéristique | Facel Vega HK500 (1961) | Facel Vega HK500 Concept (2025) – Vision Électrique |
Moteur | V8 Chrysler « Wedge » 6,3 L | Deux moteurs électriques (ou plus) à flux axial |
Puissance | Environ 360 ch SAE | > 800 ch (combiné) |
Couple | Environ 540 Nm | > 1200 Nm (instantané) |
0-100 km/h | Environ 8,5 secondes | < 3,0 secondes |
Vitesse maximale | Environ 230-240 km/h | > 300 km/h (limitée électroniquement) |
Transmission | Manuelle 4 vit. (Pont-à-Mousson) ou Auto. 3 | Direct / Réducteur simple |
Longueur | 4,65 m | Environ 4,85 m |
Poids | Environ 1660 kg | Env. 2100 kg (malgré l’usage intensif de carbone) |
Production | 490 exemplaires (HK500) | Très limité (ex: 99 exemplaires) |
Prix (indicatif époque) | Plus cher qu’une Cadillac, proche Ferrari | > 500 000 € (correspondant à l’exclusivité et technologie) |
Une Déclaration d’Indépendance Automobile
La Facel Vega HK500 de 2025, telle qu’imaginée ici, ne serait pas simplement une voiture de plus sur le segment du luxe. Elle serait une affirmation. L’affirmation que le Grand Tourisme à la française, alliant performance, technologie de pointe et artisanat d’exception, a toujours sa place. Elle s’adresserait à une clientèle de connaisseurs, d’esthètes, ceux qui recherchent une alternative aux propositions allemandes, italiennes ou britanniques. Des individus qui, comme les propriétaires de HK500 d’antan, bénéficient de l’exclusivité et d’un design qui raconte une histoire.
Dans un paysage automobile où les SUV règnent et où les hypercars se battent à coup de chiffres, la HK500 (2025) se positionnerait comme la quintessence du voyage rapide et stylé, une machine à dévorer les kilomètres avec une élégance rare et une présence magnétique.
Le Rêve Qui Persiste

Bien sûr, tout ceci n’est qu’un rêve, une esquisse née d’une passion pour une marque disparue trop tôt. Mais la force des légendes comme Facel Vega réside précisément dans leur capacité à enflammer l’imagination, à nous faire demander : « Et si ? » La HK500 de 2025, même confinée au royaume du virtuel, nous rappelle la grandeur de l’ambition automobile française et l’impact durable d’un design visionnaire.
Peut-être qu’un jour, un entrepreneur audacieux, un designer inspiré, osera réveiller la belle endormie. En attendant, le mythe Facel Vega continue de nous fasciner, preuve que les plus belles histoires automobiles ne meurent jamais vraiment.
Pour Revivre la Légende : La Facel Vega HK500 en Vidéo

Pour vous replonger dans l’atmosphère unique de la Facel Vega HK500 originale, nous vous recommandons cette superbe vidéo de Petrolicious qui capture à merveille son élégance et sa puissance :
AUTOMOBILE
Oubliez les SUV : Et si la Citroën Traction Avant 2027 Hybride Réinventait la Berline Grand Tourisme à la Française ?
La légendaire Citroën Traction Avant pourrait revenir en 2027 ? Une berline GT hybride luxueuse, ultra-confortable et audacieuse, prête à concurrencer les Allemandes et à faire oublier les SUV

Le paysage automobile mondial semble irrémédiablement dominé par une espèce : le SUV. Omniprésents, déclinés à l’infini, ils règnent sur les routes, dictant les tendances et formatant les gammes. Pourtant, une question persiste, lancinante, chez les passionnés et au-delà : l’élégance, le confort raffiné, la vraie personnalité des grandes berlines ont-ils dit leur dernier mot ? Et si, en 2027, la réponse venait d’une icône française, renaissant de ses cendres avec une audace oubliée ? Et si la Citroën Traction Avant, légende de nos routes et symbole de l’innovation française, osait un retour inattendu, non pas en crossover à la mode, mais en berline Grand Tourisme hybride, prête à secouer les standards établis, notamment ceux des indétrônables allemandes ? L’idée est folle, mais tellement séduisante.
La Traction Avant

Pour comprendre le potentiel viral et l’impact d’un tel retour, il faut d’abord saisir ce que fut la Traction Avant. Lancée en 1934, en pleine crise économique, elle n’était pas une simple évolution, mais une rupture. Traction avant (d’où son nom), caisse monocoque pour la première fois produite en série, suspensions indépendantes aux quatre roues (une première !), freins hydrauliques performants, ligne aérodynamique basse et fluide signée Flaminio Bertoni… C’était une voiture venue du futur.
Elle a révolutionné la tenue de route, offrant un niveau de sécurité et d’agrément inconnu jusque-là. Son confort était légendaire. Son design était d’une modernité stupéfiante pour l’époque, lui conférant une allure raciale, presque mystérieuse. Elle est rapidement devenue bien plus qu’un moyen de transport : un symbole de modernité, de résistance (celle des maquisards), d’audace (celle des gangsters, aussi !). La Traction Avant s’est inscrite dans l’imaginaire collectif français comme peu d’autres voitures l’ont fait. Elle incarne l’ingéniosité, le pragmatisme, et un certain art de vivre sur la route.
Pourquoi envisager sa renaissance aujourd’hui ? Parce que son ADN – innovation technique, confort exceptionnel, design audacieux et identité forte – est précisément ce qui manque parfois cruellement au marché actuel, saturé de propositions homogènes. Et parce que le nom « Traction Avant » porte en lui une promesse d’avant-garde qui résonne encore.
La « Grande Routière » à la Française

Pendant longtemps, la France a excellé dans l’art de la « Grande Routière ». Des voitures comme la DS, la CX, la XM chez Citroën, ou certaines Peugeot et Renault, n’étaient pas nécessairement les plus puissantes ou les plus sportives, mais elles offriraient une expérience de voyage unique : un confort principe, une filtration des imperfections de la route inégalée, une ambiance intérieure chaleureuse et originale, et cette capacité à avaler les kilomètres dans une décontraction souveraine. On ne cherchait pas à battre des disques sur circuit, mais à arriver frais et dispos après un long trajet.
C’est ce créneau que la Traction Avant 2027 pourrait (devrait ?) réinvestir. Dans un monde obsédé par la performance brute et les chronos, proposant une alternative axée sur le bien-être, la sérénité et un luxe discret, mais authentique, aurait un sens profond. Elle ne chercherait pas à rivaliser avec une BMW M5 en virages, mais à offrir une expérience de confort et de raffinement supérieur à celle d’une Série 5, d’une Classe E ou d’une A6 sur autoroute ou sur route dégradée.
L’Équilibre Délicat Entre Héritage et Futurisme.

Le défi majeur d’une Traction Avant 2027 résiderait dans son design. Hors de question de faire un simple copieur-coller néo-rétro. Ce serait trahir l’esprit avant-gardiste de l’original. L’approche doit être « inspirée par », pas « imitée ».
Comment transposer l’allure basse et étirée, le long capot, la cabine reculée, la fluidité des ailes dans un langage stylistique de 2027 ?
- La Silhouette : Elle devrait rester basse, plus proche du sol que la majorité des berlines actuelles, pour retrouver cette assise caractéristique de la Traction Avant. Une ligne de toit fuyante, presque fastback, pourrait moderniser l’arrière tout en évoquant les coupés et cabriolets d’époque.
- Le Capot : Un capot long, horizontal, est un élément clé de l’identité « Grande Routière ». Il faudrait le réinterpréter avec des lignes tendues, peut-être souligné par une signature lumineuse très fine et technologique, intégrant les chevrons Citroën d’une manière inédite.
- L’Avant : Adopter la nouvelle identité visuelle de Citroën, avec ses optiques sur deux niveaux, mais l’intégrer de manière horizontale, étirée, pour accentuer la largeur et l’assise de la voiture, comme les « yeux » perçants de l’originale. Une calandre très travaillée, peut-être active pour l’aérodynamisme, serait essentielle.
- Les Proportions : Jouer sur un empattement généreux pour maximiser l’espace intérieur, tout en conservant des porte-à-faux relativement courts (surtout à l’arrière) pour une allure dynamique et moderne. Les roues, de grand diamètre, devraient remplir les passages d’ailes avec élégance.
- L’Arrière : Des feux arrière très fins, horizontaux, reliés par un bandeau lumineux (signature moderne de nombreuses marques) mais avec une forme originale, peut-être évoquant les feux ronds de l’originale par un graphisme intérieur. Un diffuseur subtil, intégrant les sorties d’échappement (même s’il s’agit d’une hybride, un design peut les intégrer) ou simplement une signature lumineuse additionnelle, renforcerait l’assise.
Les matériaux extérieurs pourraient également être un élément différenciant : des peintures aux teintes profondes, des chromes réinterprétés de manière moderne (finition satinée, « chrome noir »), des jantes au design complexe mais élégant. L’objectif : une présence discrète mais immédiatement identifiable, un chic intemporel plutôt qu’une agressivité passagère.
L’Hybridation au Service du Confort et de la Performance

Le choix d’une motorisation hybride pour la Traction Avant 2027 n’est pas anodin. En 2027, le tout électrique sera monnaie courante, mais une « Grande Routière » se doit d’offrir une polyvalence maximale, y compris pour les longs trajets sans contrainte de recharge rapide généralisée. Une motorisation hybride rechargeable (PHEV) serait l’option la plus pertinente.
- Le Moteur Thermique : Pas nécessairement un V6 ou un V8 gargantuesque. Un quatre cylindres turbocompressé de bonne cylindrée (2.0L ou 2.5L) ou même un trois cylindres de très forte puissance spécifique, développé pour le couple et le silence de fonctionnement, pourrait servir de base. L’important est son intégration acoustique et vibratoire.
- Les Moteurs Électriques : Un ou plusieurs moteurs électriques, idéalement intégrés à la transmission et/ou sur l’essieu arrière pour permettre une transmission intégrale temporaire ou permanente. La puissance électrique devrait être significative (au moins 100-150 ch) pour permettre de rouler en mode 100% électrique sur une cinqquantaine de kilomètres (voire plus pour 2027) et apporter un couple décisif lors des accélérations ou relances.
- La Batterie : Une batterie d’une capacité raisonnable pour ne pas nuire au poids et à l’espace, mais suffisante pour les déplacements du quotidien en électrique pur. Le repérage de la batterie dans le plancher monocoque (fidèle à l’esprit de la Traction Avant originale) permet de conserver un centre de gravité bas.
- La Transmission : Une boîte automatique douce et rapide, parfaitement gérée pour passer inaperçue, au service de la fluidité de la conduite.
Le système hybride devrait être calibré non pas pour des accélérations de dragster (même si la puissance combinée pourrait être respectable, disons entre 300 et 400 ch), mais pour une réponse douce, linéaire, et une transition imperceptible entre les modes de propulsion. L’accent serait mis sur l’efficacité énergétique en usage « Grand Tourisme » (autoroute) et la possibilité de rouler en silence total en ville ou en zone résidentielle grâce au mode électrique.
La Suspension « Tapis Volant » du 21ème Siècle

L’une des plus grandes attentes pour une Traction Avant moderne, c’est son confort de suspension. La suspension hydropneumatique a marqué l’histoire de Citroën. En 2027, on n’utiliserait probablement pas le même système complexe, mais son héritage doit perdurer.
Citroën a déjà développé la suspension « Advanced Comfort » avec les Butées Hydrauliques Progressives. Pour un modèle de ce debout, il devrait aller beaucoup plus loin. On pourrait imaginer un système actif et prédictif ultime :
- Amortissement Actif : Des amortisseurs pilotés électroniquement, capables d’adapter leur résistance en temps réel en fonction de la route et du mode de conduite.
- Lecture Prédictive de la Route : Grâce à des caméras et des capteurs, le véhicule « lirait » la route devant lui et anticiperait les irrégularités (nids-de-poule, bosses) pour préparer la suspension et les filtres au maximum avant même que la roue n’arrive dessus.
- Barres Anti-Roulis Actifs : Pour minimiser le roulis en virage sans sacrifier le confort en ligne droite.
- Pilotage Hydropneumatique Réinventé ? Peut-être une version modernisée de l’hydropneumatique, simplifiée, moins coûteuse à entretenir, mais conservant sa capacité unique à maintenir l’assiette constante et à offrir un débattement et une douceur exceptionnelles. L’objectif : le fameux effet « tapis volant », où la voiture semble glisser au-dessus des imperfections.
Ce serait la signature technologique majeure, le point de différenciation absolu face aux concurrentes allemandes, souvent perçues (à juste titre) comme plus fermes, privilégiant la performance dynamique.
L’Intérieur : Un Sanctuaire de Luxe et de Bien-Être à la Française

L’habitacle de la Traction Avant 2027 devrait être un cocon, un espace invitant au voyage et à la détente. Oubliez les cockpits surchargés de boutons ou les écrans géants impersonnels. L’approche devrait privilégier la sérénité et l’élégance.
- Espace et Habitabilité : Grâce à l’architecture hybride et éventuellement une plateforme dédiée, l’espace aux jambes à l’arrière devrait être généreux, digne d’une limousine. Le plancher plat (grâce à l’absence de tunnel de transmission central sur une base FWD/hybride) maximiseait le confort.
- Les Sièges : Au cœur du confort Citroën. Des sièges larges, enveloppants, avec des réglages électriques multiples, des fonctions de massage, de ventilation et de chauffage poussés. Des matériaux nobles : cuirs souples, tissus de haute qualité inspirés de l’ameublement français, inserts de bois véritable ou de métal brossé.
- Le Design Intérieur : Un tableau de bord épuré, horizontal, mettant l’accent sur la largeur. L’instrumentation numérique intégrée avec discrétion. Un grand écran central peut-être rétractable ou intégré de manière élégante, contrôlant la plupart des fonctions mais conservant quelques physiques essentiels pour la climatisation et le volume audio. L’éclairage d’ambiance serait paramétrable pour créer différentes atmosphères.
- Connectivité et Infotainment : Des technologies de pointe (connectivité 5G, intégration smartphone sans fil, mises à jour à distance) mais rendues simples et intuitives à utiliser. Un système audio haut de gamme, développé en partenariat avec un spécialiste français (Focal ?), pour une immersion sonore parfaite.
- Détails « French Touch » : Des touches d’originalité discrète, comme un rangement caché, un design de poignée de porte spécifique, ou l’utilisation de matériaux inattendus (laine, lin…). L’odeur intérieure pourrait même faire l’objet d’un soin particulier, avec un diffuseur de parfum subtil.
L’intérieur serait un lieu de vie, une invitation à ralentir et à apprécier le voyage, loin de l’agitation extérieure.
Positionnement Marché

Placer une Traction Avant 2027 Hybride face aux Mercedes Classe E, BMW Série 5 et Audi A6 est un pari colossal. Ces modèles bénéficient d’une réputation d’excellence, de performances reconnues et d’une image de marque premium solidement établie depuis des décennies.
La Traction Avant ne pourrait pas (et ne devrait pas) les attaquer frontalement sur leurs points forts traditionnels (dynamisme sportif, technologie démonstrative). Sa stratégie devrait être de proposer une alternative assumée, axée sur :
- Le Confort Ultime : Sa suspension et son habitacle doivent surpasser la concurrence en termes de filtration et de bien-être.
- Un Design Unique : Une personnalité forte, un style qui se démarque nettement sans tomber dans l’excentricité gratuite, un clin d’œil assumé à l’histoire sans être daté.
- L’Esprit « Grande Routière » : Une expérience de fluide, reposante, parfaitement adaptée aux longs parcours et à l’environnement urbain, mais avec une puissance suffisante pour des dépassements sécurisés.
- La Technologie au Service de l’Humain : Des innovations qui simplifient la vie et améliorent le confort, pas seulement des gadgets.
- L’Identité Française : Mettre en avant le savoir-faire, le raffinement, le chic et l’originalité du design français.
La cible serait une clientèle lassée par l’uniformité des berlines premium actuelles, en quête d’une voiture statutaire plus discrète, qui privilégie le confort et l’originalité à la démonstration de puissance. Une clientèle sensible à l’histoire automobile et au « fabriqué en France » (si la production y était envisagée).
Le principal défi pour Citroën serait de légitimer ce modèle sur ce segment de prix (probablement situé entre 50 000 et 80 000 euros, voire plus pour les versions les plus équipées). La marque a une image plutôt généraliste aujourd’hui. Il faudrait une communication très forte, très ciblée, et un niveau de finition et de service client irréprochable pour convaincre cette clientèle exigeante.
Un Rêve Audacieux, un Potentiel Viral Énorme

L’idée d’une Citroën Traction Avant 2027 Hybride réinventant la berline Grand Tourisme à la française est bien plus qu’une simple spéculation. C’est une proposition audacieuse qui, si elle était réalisée avec talent et conviction, pourrait redéfinir le positionnement de Citroën et offrir une alternative rafraîchissante sur un marché automobile un peu trop formaté.
Elle capitaliserait sur un nom mythique, un héritage d’innovation et un savoir-faire français en matière de confort et de design. Elle générerait instantanément un buzz incroyable, divisant peut-être les puristes, mais captivant l’attention de tous. Elle aurait le potentiel d’être une véritable « déclaration » roulante, un manifeste contre la banalité, un retour aux sources de ce qui a fait la grandeur de l’automobile française : l’ingéniosité au service de l’humain et un style inimitable.
Oublions un instant les impératifs de rentabilité immédiate et osons rêver. Une Traction Avant 2027 hybride, basse, élégante, ultra-confortable, connectée mais pas déshumanisée, ce serait le plus beau pied de nez aux SUV et le plus bel hommage à une légende. Citroën à l’histoire, l’ADN et, espérons-le, l’audace nécessaire. La balle est dans leur camp. Et si c’était ça, la vraie voiture virale de demain ?
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