MARQUES
Des voitures étoilées sur mesure en 2025 : voici les « designo » de Mercedes !

On le sait, la Mercedes Classe S, c’est un peu le saint Graal de l’automobile. Le genre de voiture qui vous fait rêver d’embouteillages juste pour profiter un peu plus de ses sièges massants et de son intérieur digne d’un palace. Mais pour certains, le luxe de série, c’est presque banal. Oui, oui, vous avez bien lu. Alors, Mercedes, en bon génie du sur-mesure, leur a concocté un programme spécial : le département « designo ».
Imaginez un peu : vous débarquez chez Mercedes avec votre rêve le plus fou, celui que vous gardiez au fond de votre poche depuis des années. Un volant en peau de panda roux ? Un ciel de toit constellé de diamants ? Un mini-bar qui sert des cocktails parfaitement dosés ? Ne rigolez pas, on a déjà tout vu (ou presque) !
Le caprice des stars, l’obsession des milliardaires

Prenons l’exemple de ce célèbre rappeur américain (on ne donnera pas de noms, secret professionnel !) qui voulait absolument un système audio capable de faire trembler les murs d’une boîte de nuit. Résultat ? Un son digne d’un concert privé, avec suffisamment de basses pour faire vibrer les poils de vos narines. Bon, il paraît que les voisins n’ont pas trop apprécié le premier essai…
Et que dire de ce magnat du pétrole qui rêvait de transformer sa Classe S en véritable bureau mobile ? Ordinateur dernier cri, connexion internet ultra-sécurisée, imprimante… Il paraît même qu’il avait fait installer un coffre-fort biométrique pour ranger ses précieux contrats. On n’est jamais trop prudent, surtout quand on brasse des millions !
De la folie douce à l’excentricité assumée

Mais rassurez-vous, le département « designo » ne se limite pas aux caprices des stars et des milliardaires. Certains clients ont des demandes plus… originales, dirons-nous.
Comme ce couple de retraités qui a fait broder les portraits de leurs petits-enfants sur les appuie-têtes. Ou encore cet amoureux des félins qui a opté pour un intérieur en cuir vegan couleur crème, avec des griffoirs intégrés aux portières. Parce que le luxe, c’est aussi de pouvoir transporter son Maine Coon en toute sérénité !
Quand le sur-mesure flirte avec l’art

Mais attention, le programme « designo », c’est du sérieux. On ne parle pas de coller des gadgets sur le tableau de bord. Les artisans de Mercedes, de véritables orfèvres du luxe, travaillent main dans la main avec les clients pour créer des voitures uniques au monde. Chaque détail est pensé, chaque matériau est choisi avec soin. Bois précieux, cuirs rares, métaux précieux… Tout est possible, ou presque.
Certains clients, de véritables esthètes, transforment leur Classe S en véritables œuvres d’art roulantes. On parle de peintures personnalisées, de broderies réalisées à la main, d’incrustations de pierres précieuses… Des chefs-d’œuvre uniques qui feraient pâlir d’envie les collectionneurs les plus exigeants.
Un rêve inaccessible ? Pas forcément !

Bon, on vous l’accorde, le programme « designo » n’est pas à la portée de toutes les bourses. Il faut compter quelques (dizaines de) milliers d’euros pour s’offrir une personnalisation digne de ce nom. Mais avouez que ça fait rêver, non ?
Alors, si un jour vous gagnez au loto ou que vous trouvez un trésor caché au fond de votre jardin, n’oubliez pas : la seule limite à la personnalisation de votre Classe S, c’est votre imagination (et peut-être l’épaisseur de votre portefeuille). Après tout, la vie est trop courte pour rouler dans une voiture banale, même quand il s’agit d’une Mercedes Classe S !
La face cachée du sur-mesure : quand Mercedes dit non

Mais attention, ne vous imaginez pas débarquer chez votre concessionnaire avec des plans dignes d’un vaisseau spatial. Si le programme « designo » repousse les limites du possible, il doit aussi composer avec quelques contraintes. Sécurité routière oblige, certaines demandes un peu trop farfelues sont gentiment refusées par les ingénieurs de Mercedes.
On raconte qu’un riche excentrique aurait voulu faire installer un jacuzzi fonctionnel à l’arrière de sa Classe S. Imaginez un peu la scène : vous êtes coincé dans les embouteillages, mais au lieu de fulminer contre les poids lourds, vous sirotez tranquillement un cocktail dans votre bain moussant… Une idée révolutionnaire, certes, mais qui risquait de transformer la berline en piscine ambulante au moindre accident. Dommage !
Autre anecdote croustillante : un magnat de la mode aurait exigé un intérieur entièrement recouvert de fourrure de vison blanc. Une horreur pour les défenseurs des animaux, mais aussi un véritable cauchemar logistique pour l’entretien. On vous laisse imaginer les dégâts causés par un café renversé ou un stylo qui fuit…
Plus qu’une voiture, un reflet de soi

Au-delà des demandes extravagantes, le programme « designo » révèle surtout une vérité universelle : l’automobile est bien plus qu’un simple moyen de transport. C’est un prolongement de soi, un reflet de nos goûts, de notre personnalité, de notre histoire. Et quoi de mieux qu’une Mercedes Classe S pour exprimer sa singularité ?
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Alors, la prochaine fois que vous croiserez une Classe S dans la rue, ne la regardez pas seulement comme une voiture de luxe. Imaginez l’histoire qu’elle raconte, les secrets qu’elle renferme, les rêves qu’elle incarne. Qui sait, peut-être croiserez-vous un jour la route d’une Classe S avec un mini-bar à cocktails ou un ciel de toit étoilé. Et si c’était le cas, n’hésitez pas à nous envoyer une photo !
MARQUES
Lincoln Blackwood 2026 : Le Design Raté Qui Pourrait Créer le Buzz
Le Lincoln Blackwood est resté célèbre pour son échec et son design controversé. Pourtant, en 2026, le paysage automobile a changé. L’électrification, le luxe axé sur le lifestyle et les designs audacieux pourraient redonner ses lettres de noblesse à cette « étrange beauté »

Certains véhicules marquent l’histoire par leur succès retentissant. D’autres par leur échec tout aussi spectaculaire, laissant derrière eux une aura de mystère et, parfois, un culte inattendu. Le Lincoln Blackwood, lancé pour l’année modèle 2002 et retiré moins de deux ans plus tard, appartient sans aucun doute à la seconde catégorie. Qualifié de « désastre commercial », critiqué pour son manque de praticité et surtout, pour un design pour le moins… particulier, il est resté dans les mémoires comme un pari audacieux mais raté de Lincoln dans l’arène du pick-up de luxe.
Pourtant, en 2025, alors que le monde automobile est en pleine mutation – électrification massive, émergence de designs radicaux, obsession pour l’expérience intérieure et le « lifestyle » – une question audacieuse mérite d’être posée : Et si le design étrange et décrié du Blackwood original portait en lui les germes d’une tendance future ? Si, avec le recul et dans le contexte de 2026, sa singularité n’était plus un défaut, mais une qualité précieuse capable de générer un buzz phénoménal pour une potentielle renaissance ?
Nous allons explorer pourquoi l’échec stylistique d’hier pourrait bien être la provocation de luxe que le marché attend aujourd’hui. Ce n’est pas juste une question de nostalgie, c’est une analyse de la façon dont les codes du design et du luxe automobile ont évolué, et comment le Blackwood était peut-être, sans le vouloir, un visionnaire incompris.
Le Blackwood Original (2002)

Pour comprendre pourquoi le Blackwood a suscité tant de réactions, il faut se replonger dans le contexte du début des années 2000. Le marché des pick-ups était dominé par la robustesse et l’utilité. Le marché du luxe, par des berlines et des SUV de plus en plus opulents. Lincoln, cherchant à capitaliser sur le succès du Ford F-150 (sur lequel le Blackwood était basé, spécifiquement la version Crew Cab), a eu l’idée d’hybrider les deux univers : créer un pick-up ultra-luxueux.
L’intérieur du Blackwood était incontestablement luxueux pour l’époque : cuir de haute qualité, boiseries, équipements haut de gamme. C’était un salon roulant. Mais c’est l’extérieur, et plus précisément la benne, qui a défini et condamné son design aux yeux de beaucoup.
Un aperçu de ses caractéristiques clés :
Caractéristique Clé | Détails (Modèle 2002) |
Base | Ford F-150 SuperCrew |
Motorisation | V8 5.4L DOHC |
Puissance | 300 ch |
Transmission | Automatique 4 vitesses |
Roues Motrices | Propulsion (pas de 4×4 disponible, un comble pour un pick-up) |
Capacité de Remorquage | Limitée (environ 3 800 lbs) |
La Benne (La Controverse) | Courte (1.5m), revêtement en aluminium et bois d’ébène, couvercle rigide motorisé, non conçue pour transporter de charges lourdes ou salissantes |
Prix de Base (approx.) | 52 500 USD (Élevé pour l’époque) |
Production | Très limitée (environ 3 300 unités) |
Durée de Vie | Moins de 2 ans (2002-2003) |
Le problème ? Cette benne n’était pas une benne utilitaire. Protégée par un couvercle rigide motorisé et ornée de panneaux en aluminium rainuré et d’inserts en bois (similaire à celui utilisé pour les yacths de luxe), elle était conçue plus comme un coffre sécurisé que comme un espace de chargement. On ne pouvait pas y mettre de terre, de gravats, ni même un meuble sans risquer d’abîmer les finitions luxueuses. L’absence de version 4×4 scellait son sort en tant que véritable outil de travail ou de loisir tout-terrain.
Pourquoi Son Design Fut-il Tant Critiqué ?

Les critiques étaient virulentes et nombreuses :
- Le Paradoxe de la Benne : Le point le plus saillant. Un pick-up dont la benne est inutile pour les tâches traditionnelles d’un pick-up. C’était perçu comme une contradiction fondamentale, un « faux pick-up ».
- Le Mariage Contre Nature : L’idée de greffer un intérieur de berline de luxe sur un châssis de pick-up ne convainquait pas. Le luxe paraissait déplacé, en décalage avec la silhouette du véhicule.
- Un Esthétisme Clivant : Le choix des matériaux extérieurs (les panneaux de benne, le couvercle rigide) et l’intégration visuelle de la benne ont été jugés maladroits, voire laids par beaucoup. Il manquait de l’harmonie perçue dans les berlines ou SUV de luxe concurrents.
- Le Manque de Justification : Qui était censé acheter ce véhicule ? Un entrepreneur prospère qui ne transporte rien ? Un amateur de luxe qui a besoin d’un grand coffre à ciel ouvert (mais couvert) ? Le public cible n’était pas clair, et le design ne l’aidait pas à se définir.
Le Blackwood était perçu comme un véhicule qui ne savait pas où il se situait, un hybride raté, une expérience de design qui n’avait ni la robustesse d’un pick-up, ni l’élégance statutaire d’une berline ou d’un grand SUV de luxe. Sa beauté, si on pouvait l’appeler ainsi, était étrange et ne trouvait pas son public.
Les Tendances Actuelles (2025/2026) Avec Un Vent Nouveau

Fast-forward jusqu’en 2025. Le paysage automobile a changé radicalement. Plusieurs tendances fortes redessinent l’avenir du design et du positionnement des véhicules, en particulier dans le segment du luxe :
- L’Électrification Redéfinit la Forme : Les plateformes électriques offrent une liberté de design inédite. Absence de gros moteurs thermiques à l’avant, batteries sous le plancher, espace intérieur maximisé. Cela permet des proportions différentes, des nez plus courts, des cabines avancées, et réinvente les espaces traditionnels (comme les « frunks » à l’avant).
- L’Intérieur Comme Sanctuaire : Avec le développement de la conduite autonome et la multiplication des écrans, l’habitacle devient de plus en plus un espace de vie, un bureau, un lieu de détente. Le luxe se mesure autant, sinon plus, à la qualité des matériaux, au confort, à la connectivité et à l’expérience sensorielle qu’à la performance pure.
- Le Design Polarise et Affirme l’Identité : À une époque où de nombreux véhicules se ressemblent, les marques cherchent à se différencier par des designs forts, parfois radicaux et clivants (pensez au Cybertruck, aux lignes tendues de certains SUV électriques). Être unique, même si cela déplaît à certains, est devenu une stratégie pour générer de l’attention et fidéliser un public cherchant à affirmer sa personnalité.
- Le « Lifestyle » Prend le Pas sur l’Utilité Pure : De nombreux véhicules, y compris des SUV et même certains pick-ups modernes, sont achetés non pas pour leurs capacités utilitaires maximales, mais pour l’image, le style de vie qu’ils projettent et le confort qu’ils offrent au quotidien. La benne d’un pick-up devient parfois un espace de rangement pour équipements de sport, un lieu pour s’asseoir lors d’événements, plus qu’un espace pour charger des matériaux de construction.
- Le Luxe Est de Plus en Plus Personnalisé et Expérientiel : Les clients haut de gamme recherchent des véhicules qui sont des extensions d’eux-mêmes, offrant des expériences uniques, des matériaux exclusifs, et un niveau de personnalisation élevé.
Comment l’Étrange Beauté du Blackwood S’Alignerait-elle Avec 2026 ?

C’est ici que l’analyse devient fascinante. Les raisons mêmes pour lesquelles le Blackwood original a échoué pourraient, dans le contexte actuel, devenir des atouts surprenants pour une version 2026.
- La Benne Comme « Secure Trunk » de Luxe : En 2002, une benne inutilisable était absurde. En 2026, dans un monde où le pick-up de luxe est un véhicule de « lifestyle » urbain ou périurbain, une benne courte, parfaitement sécurisée, étanche et luxueusement finie n’est plus une hérésie. C’est un coffre géant pour transporter sacs de golf, bagages de luxe, matériel photographique coûteux ou même un vélo de course hors de prix, à l’abri des regards et des éléments. C’est une alternative audacieuse au SUV, offrant un espace de rangement accessible par l’arrière, mais avec la silhouette distincte d’un pick-up – ou du moins, de ce que l’on pourrait appeler un « Sport Luxury Truck ».
- Le Design Polaritaire Devient Attrait : Le design clivant du Blackwood original le rendait immédiatement reconnaissable. À une époque où les marques luttent pour l’attention sur les réseaux sociaux, un design audacieux, même s’il ne fait pas l’unanimité, génère des discussions et des partages. Une réinterprétation moderne des panneaux de benne et du couvercle rigide, exécutée avec les techniques et matériaux de 2026, pourrait être perçue non pas comme maladroite, mais comme résolument originale et avant-gardiste.
- L’Intérieur Comme Priorité : Le Blackwood original mettait l’accent sur le confort intérieur. En 2026, c’est la norme pour le luxe. Lincoln excelle déjà dans la création d’intérieurs apaisants et raffinés (voir les modèles Navigator ou Aviator actuels). Un Blackwood 2026 pourrait pousser ce concept à l’extrême, offrant un habitacle digne d’un jet privé, avec des technologies de connectivité et d’info-divertissement de pointe, des matériaux durables et exquis, et un silence de roulement optimisé par l’électrification.
- L’Exclusivité Innée : Le Blackwood a toujours été rare. Un modèle 2026, positionné très haut de gamme et produit en volumes contrôlés, capitaliserait sur cette rareté perçue dès le départ. Il ne chercherait pas à rivaliser avec les gros volumes des pick-ups traditionnels, mais à offrir une alternative ultra-niche et désirable, renforçant son statut de « véhicule pour initiés ».
Imaginer le Lincoln Blackwood 2026 : Nos Idées (Folles ?) de Design
Alors, à quoi pourrait ressembler cette « étrange beauté » ressuscitée en 2026 ? Voici quelques pistes inspirées par les tendances actuelles :
Élément de Design / Caractéristique Inspiration 2026 Potentielle Pourquoi Ça Pourrait Marcher Silhouette Générale Plus fluide, potentiellement aérodynamique grâce à une plateforme électrique. Moins « camion », plus « véhicule de lifestyle ». S’éloigner de l’image utilitaire pour embrasser pleinement le segment du luxe pur. La Benne / L’Espace Arrière Réinventé comme un module multifonctionnel : « Secure Trunk » de luxe avec tiroirs sur mesure, espace lounge extérieur intégré (avec sono, éclairage), voire un dock pour drone personnel. Transforme le défaut historique en un point de vente unique et luxueux, adapté aux usages modernes. Le Couvercle de Benne Intégré de manière plus organique au design global, matériaux innovants (carbone, matériaux recyclés de luxe), peut-être translucide ou avec éclairage d’ambiance. Modernise un élément clé du design original, le rendant sophistiqué et technologique. Calandre & Signature Lumineuse Adaptation de l’identité visuelle actuelle de Lincoln (phares effilés, calandre imposante mais raffinée), éclairage dynamique. Assure la reconnaissance de la marque tout en intégrant les tendances actuelles. Intérieur Minimaliste, axé sur le confort et la technologie intégrée de manière invisible. Matériaux durables, personnalisables à l’extrême, sièges massants, écran immense rétractable. Crée un sanctuaire de luxe, conforme aux attentes des clients haut de gamme de 2026. Motorisation Exclusivement électrique. Performances élevées mais silencieuses, autonomie importante. Positionnement technologique et écologique, aligné avec l’image de luxe moderne. Roues Jantes de très grande taille (22-24 pouces), design aéro-dynamique et luxueux. Renforce la posture imposante et le style de vie associé.
Le défi serait de réinterpréter l’étrangeté de la benne originale non pas comme un manque d’utilité, mais comme une affirmation de non-conformisme et d’ultra-spécialisation. Ce n’est pas un pick-up pour transporter des parpaings, c’est un véhicule de luxe qui, par un coup de génie de design, intègre un espace de rangement unique en son genre, distinct d’un coffre de SUV traditionnel.
Les Défis de la Renaissance : L’Audace Suffira-t-elle ?
Malgré le potentiel viral et l’alignement inattendu avec certaines tendances, relancer le Blackwood en 2026 ne serait pas sans défis :
- Éviter les Pièges du Passé : Lincoln devrait clairement définir le positionnement du véhicule pour éviter la confusion qui a plombé l’original.
- Justifier le Prix : Un tel véhicule serait nécessairement très cher. Sa proposition de valeur devrait être irréprochable pour justifier l’investissement.
- L’Acceptation du Marché : Même si le marché est plus ouvert aux designs audacieux, un pick-up de luxe non utilitaire reste un concept de niche.
- La Concurrence : Le segment du pick-up électrique de luxe commence à émerger (Silverado EV, F-150 Lightning Platinum, potentiels entrants). Le Blackwood devrait se distinguer fortement.
Cependant, c’est précisément dans ces défis que réside une opportunité. Un Blackwood 2026 assumant pleinement son caractère unique, sa « strange beauty », son positionnement ultra-luxe et non utilitaire, pourrait capter l’attention de ceux qui cherchent un véhicule qui ne ressemble à aucun autre.
Le Blackwood, de l’Échec au Statut d’Icône Trendsetter ?

Le Lincoln Blackwood de 2002 fut, objectivement, un échec commercial et un sujet de moqueries stylistiques pour beaucoup. Pourtant, en regardant son design à travers le prisme des tendances automobiles de 2025 et 2026 – l’acceptation des formes audacieuses, l’importance croissante de l’intérieur et du « lifestyle », les possibilités offertes par l’électrification – on peut y déceler les contours d’une beauté étrange qui n’attendait que le bon moment pour être comprise.
Un nouveau Blackwood en 2026 ne devrait pas simplement réchauffer la recette du passé. Il devrait s’en inspirer pour créer quelque chose de radicalement nouveau, un véhicule qui embrasse pleinement son caractère non-conformiste. Un pick-up de luxe qui ne prétend pas déménager des armoires, mais plutôt offrir un espace de rangement sécurisé et chic pour une vie urbaine et aisée. Un véhicule dont le design clivant génère conversations et convoitise.

Si Lincoln osait cette renaissance, en assumant totalement la singularité de l’idée originale et en l’exécutant avec le raffinement et la technologie de pointe de 2026, l’étrange beauté du Blackwood pourrait bien sortir de l’ombre de l’échec pour devenir, paradoxalement, une source d’inspiration et une icône trendy sur quatre roues. Le pari est immense, mais le potentiel de buzz… l’est encore plus.
Alors, qu’en pensez-vous ? La « strange beauty » du Blackwood mérite-t-elle une seconde chance en 2026 ? Le marché est-il enfin prêt pour un pick-up qui ose être différent, même au prix de l’utilité ?
AUTOMOBILE
20 Secrets sur la Ford Capri que Personne ne Vous Raconte !
Saviez-vous que la Ford Capri a failli s’appeler autrement ? Ou qu’elle a couru contre Ferrari en rallye ? Explorez les histoires les plus surprenantes de cette légende.

Plongeons ensemble dans les recoins les plus méconnus de l’histoire de la Ford Capri, une voiture dont la popularité cache bien des secrets. Loin des sentiers battus des récits classiques, nous allons explorer des faits, des histoires et des anecdotes si insolites qu’ils pourraient bien transformer à jamais votre perception de la « Mustang européenne ». Attachez vos ceintures, car le voyage au cœur des mystères de la Capri ne fait que commencer.
Nous avons fouillé dans les archives officieuses, écouté les murmures des ingénieurs et des pilotes, et déniché pour vous 20 pépites d’information qui éclairent sous un jour nouveau la genèse, la vie et l’héritage de cette icône. Préparez-vous à être surpris, émerveillé, et à vouloir en savoir toujours plus sur cette voiture décidément pas comme les autres.
1. Un Projet si Secret qu’il Changea de Nom en Plein Vol
Avant de devenir la Capri que l’on connaît, le projet portait le nom de code « Project Colt ». Cependant, alors que le développement battait son plein, Ford réalisait qu’un autre constructeur automobile, Mitsubishi, utilisait déjà ce nom. Pour éviter toute confusion ou litige, un changement de nom de dernière minute fut impératif. Les équipes se sont alors tournées vers l’île italienne de Capri, un lieu synonyme de glamour et de beauté, un choix qui, espéraient-ils, reflétait le style et le désir que la voiture devait incarner. Ce changement rapide témoigne de l’agilité, ou peut-être de l’improvisation, qui a parfois marqué le processus de développement de cette voiture ambitieuse. L’urgence de trouver un nouveau nom, à la fois évocateur et libre de droits, a mené à ce baptême géographique qui allait rester dans l’histoire.
2. La Bataille Oubliée des Sièges Arrière
L’une des contraintes majeures du cahier des charges de la Capri était qu’elle devait être une voiture familiale acceptable, malgré son look de coupé sportif. Cela signifiait qu’elle devait absolument pouvoir accueillir deux adultes aux places arrière, ou du moins, le prétendre de manière crédible. L’équipe de conception a longuement bataillé pour sculpter l’intérieur de manière à maximiser l’espace à l’arrière sans perturber la ligne de toit fuyante qui était essentielle à son esthétique « fastback ». Des prototypes avec des toits plus hauts ou des banquettes arrière moins inclinées ont été envisagés, mais systématiquement rejetés car ils altéraient l’équilibre visuel souhaité. Le compromis final, bien que salué à l’époque comme un tour de force, reste un exemple de la manière dont les exigences pratiques ont dû se plier, jusqu’à un certain point, aux impératifs stylistiques du projet. C’est un détail souvent négligé, mais crucial pour comprendre les défis rencontrés par les ingénieurs.
3. Le Véritable « Frankenstein » Mécanique
Si l’on sait que la Capri partageait des composants avec les Cortina et Taunus, l’étendue de ce « mariage » mécanique est souvent sous-estimée. En réalité, la Capri était un véritable puzzle d’éléments provenant de diverses Ford existantes à travers l’Europe. Les trains roulants, les freins, et même les parties de la structure étaient un patchwork astucieux. Par exemple, la suspension avant pouvait emprunter des éléments à la Cortina, tandis que la direction venait d’un autre modèle. Cette approche, bien que cruciale pour maîtriser les coûts de développement et de production, crée parfois des défis uniques en termes d’intégration et de performances. C’était l’équivalent automobile de construire une nouvelle créature à partir de pièces existantes, un « Frankenstein » ingénieux qui a finalement fonctionné.
4. Le Secret de la Suspension Arrière « Primitive »
La suspension arrière de la Capri, un essieu rigide avec ressorts à lames, était considérée comme relativement archaïque même à l’époque de son lancement, alors que d’autres sportives adoptaient des solutions plus modernes comme les suspensions indépendantes. La raison de ce choix n’était pas seulement économique. Les ingénieurs de Ford Europe ont été confrontés à la nécessité de concevoir une voiture qui puisse être produite et entretenue dans une multitude de pays avec des infrastructures routières et des réseaux de concessionnaires très variés. L’essieu rigide, simple, robuste et facile à réparer, était considéré comme la solution la plus fiable et la plus universelle. C’était un compromis délibéré pour garantir la durabilité et l’accessibilité, un fait qui souligne la vision pragmatique derrière son développement.
5. La Capri qui Pouvait Boire du Mazout ?
Une anecdote peu connue concerne les études exploratoires menées par Ford au milieu des années 1970, à la suite des chocs pétroliers. Dans le cadre de recherches sur les carburants alternatifs, il y aurait eu des discussions, voire des prototypes très préliminaires, explorant la possibilité d’adapter certains moteurs Capri, notamment des versions du V6, pour fonctionner avec des mélanges d’éthanol ou même des carburants moins raffinés. L’idée était de préparer la gamme à une éventuelle pénurie d’essence traditionnelle. Bien que ces études n’étaient jamais abouti à une production en série, elles se révèlent à quel point Ford envisageait des scénarios futuristes (pour l’époque) pour assurer la survie de modèles comme la Capri face aux défis énergétiques croissants.

6. Les « Capri Spéciales » que seuls les Insiders connaissent
Au-delà des versions connues comme la 3000 GT ou la 2.8 Injection, il existait une myriade de « Capri spéciales » produits en très petites quantités ou pour des marchés spécifiques, souvent avec des combinaisons moteur/finition uniques qui n’apparaissaient pas dans les brochures standards. Certaines étaient des séries limitées locales pour écouler des stocks ou célébrer un événement, d’autres des adaptations pour répondre à des réglementations nationales excentriques. Ces « modèles fantômes » rendent la tâche des collectionneurs encore plus complexe et fascinante, car il est difficile de documenter l’étendue complète de ces variations rares et parfois excentriques.
7. Le Mystère de la Capri Américaine « Importée »
Bien que la Capri ait été conçue comme une voiture européenne, Ford a tenté de l’importer aux États-Unis via sa division Lincoln-Mercury entre 1970 et 1977. Ce n’était pas la même voiture que la « Mercury Capri » produite plus tard sur base de la Ford Mustang de troisième génération. La Capri européenne importée aux USA devait subir de nombreuses modifications pour respecter les normes américaines de sécurité et d’émissions, souvent au détriment de ses performances. Ces versions américaines avaient des pare-chocs plus massifs, des feux différents et des moteurs dégonflés. L’histoire de la Capri en Amérique est celle d’une adaptation difficile, qui a vu la voiture perdre une partie de son âme dans le processus, un destin peu connu comparé à son succès européen.
8. L’Origine Secrète du Nom « S » sur la Mk III
La désignation « S » (pour « Sport ») sur la Capri Mk III ne signifiait pas toujours la même chose et son application a parfois été source de confusion. Initialement, le « S » était censé indiquer un niveau de finition sportive, mais il a fini par être utilisé de manière plus large, parfois même sur des modèles qui n’avaient pas les motorisations les plus puissantes. Il y aurait eu des débats internes houeux chez Ford sur l’opportunité d’utiliser cette appellation, certains estimant qu’elle diluait le caractère sportif des versions haut de gamme. L’histoire de ce simple suffixe « S » révèle les tensions marketing et de positionnement qui ont parfois agité la vie de la Capri.
9. La Course Contre la Montre pour la RS2600
Le développement de la Capri RS2600, la version homologation cours de la Mk I, fut une véritable course contre la montre. Pour être compétitive dès son lancement en Championnat d’Europe, elle devait être prête et homologuée dans des délais extrêmement serrés. Les équipes d’ingénieurs et de préparateurs ont travaillé jour et nuit pour finaliser les spécifications du moteur (V6 Cologne avec injection Kugelfischer, une technologie de pointe pour l’époque), le châssis et les éléments aérodynamiques. Des prototypes furent testés intensivement dans le plus grand secret. Cette pression intense a conduit à des décisions rapides et parfois risquées, mais a finalement abouti à une voiture de course redoutable qui allait marquer son époque.
10. La Capri qui attend Peur de la Pluie ?
Une bizarrerie technique peu connue de certaines Capri, notamment les premières versions, concernait l’étanchéité des passages de roues ou d’autres zones de la carrosserie. Des remontées d’eau ou d’humidité peuvent se produire dans l’habitacle ou le coffre dans des conditions de pluie intense ou de lavage à haute pression. Ce problème, bien que corrigé sur les modèles ultérieurs, a parfois valorisé à la Capri la réputation (exagérée) d’être « allergique » à l’eau. C’était un défaut de jeunesse qui soulignait que, malgré ses ambitions sportives, la Capri restait une voiture produite en grande série avec les compromis que cela implique parfois.

11. Le Projet Avorté d’une Capri à Moteur Central
Dans les cartons des bureaux de style avancé de Ford Europe au milieu des années 1970, il y aurait eu des études conceptuelles pour une Capri de quatrième génération radicalement différente, incluant l’idée d’une architecture à moteur central arrière. Inspirés par les tendances de design de l’époque et le succès de certaines sportives exotiques, les designers ont exploré des formes plus audacieuses et un positionnement mécanique différent pour le Capri du futur. Ce projet n’a jamais dépassé le stade des esquisses et des maquettes préliminaires, jugé trop coûteux et trop éloigné du positionnement accessible de la Capri. Mais l’existence même de ces études montre à quel point Ford envisageait des évolutions majeures pour son coupé populaire.
12. Le Mystère des Couleurs Intérieures Excentriques
Les options de couleurs intérieures proposées pour la Capri, en particulier dans les années 1970, étaient parfois étonnamment audacieuses, voire excentriques, par rapport aux normes plus sobres d’aujourd’hui. Des intérieurs violets, verts pomme, oranges ou bleus vifs étaient disponibles, souvent associés à des motifs de sièges psychédéliques. Ces choix, qui peuvent paraître étranges aujourd’hui, étaient parfaitement en phase avec l’esthétique Pop Art et le design intérieur de l’époque. Ils répondent au désir de la Capri d’être une voiture fun et moderne, et sont aujourd’hui une caractéristique prise des collectionneurs en quête d’originalité.
Exemples de Couleurs Intérieures Insolites (Années 70)
Couleur | Modèles/Années concernées | Remarques |
Violet | Mk I / Début Mk II | Souvent associé à des extérieurs clairs. |
Vert Pomme | Mk II | Ambiance « funky », très années 70. |
Orange Vif | Mk I / Mk II | Énergique, populaire sur certaines versions. |
Bleu Électrique | Mk II | Accompagne souvent des extérieurs sombres. |
Motifs psychédéliques | Mk I / Début Mk II | Inserts de sièges très graphiques. |
13. La Capri qui Aïda à Vaincre Ferrari en Rallye
Bien que principalement connue pour ses exploits sur circuit, la Ford Capri a également eu une carrière discrète mais intéressante en rallye. Certaines versions préparées, notamment la RS2600, ont participé à des épreuves de rallye, démontrant leur robustesse et leur agilité sur des terrains difficiles. L’une des histoires les plus étonnantes est celle de la participation de la Capri RS2600 au Rallye de Monte-Carlo au début des années 1970, où elle a réussi à se classer dans les premières positions, concurrençant directement des voitures réputées comme les Alpine A110 ou même certaines Porsche. Bien qu’elle n’ait jamais dominé la discipline comme sur piste, sa capacité à se défendre en rallye est un aspect moins connu de son histoire, prouvant sa polyvalence.
14. Le Mythe de la Capri « Allégée » d’Usine
Il existe des rumeurs persistantes, particulièrement concernant les premières RS2600, de l’existence de versions « allégées » sorties directement des usines de Ford, avec moins d’insonorisation, des vitres plus amendes ou d’autres mesures de gain de poids non documentées officiellement. Ces rumeurs, difficiles à vérifier, proviennent souvent d’anciens employés ou de préparateurs de l’époque. Si l’existence de spécifiquement « strippés » pour la course est avérée (les versions Groupe 2 et Groupe 5), l’idée que des versions routières conservent des modèles distinctifs de traitements spéciaux en usine pour gagner du poids relève davantage du mythe, alimentée par le désir de trouver des « licornes » parmi les Capri de collection.

15. La Ford Capri qui « Parlait » le Langage des Signes
Une anecdote amusante concerne les manuels du propriétaire de la Capri, en particulier dans les versions exportées ou destinées à un public international. Pour simplifier les explications des commandes et des témoins lumineux, Ford a utilisé un langage visuel très poussé, avec de nombreux pictogrammes et schémas, parfois au détriment du texte. Cette approche était censée rendre le manuel compréhensible quel que soit le pays ou la langue du propriétaire. Cela a donné aux manuels une allure de bande dessinée ou de guide « muet », une particularité qui surprend ceux qui les découvrent aujourd’hui.
16. Le Secret de la « Bulge » sur le Capot de la Mk I V6
Le capot des Ford Capri Mk I équipé des moteurs V6 (Essex ou Cologne, selon les marchés) présentait une bosse caractéristique en son centre. Ce « renflement » n’était pas qu’un élément de style ; elle était techniquement nécessaire pour laisser de l’espace au-dessus des carburateurs ou des systèmes d’admission spécifiques à ces moteurs plus volumineux que les quatre cylindres. Sur les versions équipées de moteurs plus petits, le capot était plat. Ce détail, souvent confondu avec un simple ajout esthétique sur tous les Capri sportifs, était en fait une contrainte dictée par l’intégration mécanique, un secret technique caché à la vue de tous.
17. La Fin de la Ligne, une Décision Douleureuse
L’arrêt de la production de la Ford Capri en 1986 ne fut pas une décision facile pour Ford. La voiture avait une forte base de fans et une image de marque bien établie. Cependant, le déclin des ventes face à une concurrence plus moderne et l’évolution des goûts du public ont rendu sa poursuite économiquement difficile. La décision fut prise après de longues délibérations internes, et l’annonce fut accueillie avec tristesse par de nombreux employés et passionnés. La série finale « 280 » ou « Brooklands », peinte en vert, fut un dernier hommage à un modèle qui avait servi Ford pendant près de deux décennies, un adieu émouvant à une légende.
18. La Capri qui aura pu avoir un moteur Cosworth
Bien que la Capri n’ait jamais reçu de moteur Cosworth en production de série (contrairement à la Sierra ou l’Escort), il y a eu des discussions et des études préliminaires dans les années 1970 et 1980 pour équiper la Capri des moteurs haute performance développés par Cosworth, le partenaire de longue date de Ford en sport automobile. L’idée d’une Capri RS Cosworth a probablement suscité l’imagination des ingénieurs, mais des contraintes de coût, de positionnement dans la gamme, ou de viabilité technique ont empêché ce mariage potentiel. L’existence même de ces discussions, bien que n’ayant pas abouti, montre le potentiel de performance que Ford voyait dans la plateforme Capri.
19. Le Rôle Inattendu de la Capri dans les Auto-Écoles
Dans certains pays européens, notamment au Royaume-Uni et en Allemagne, la Ford Capri, même dans ses versions les moins puissantes, fut parfois utilisée comme voiture d’auto-école dans les années 1970. Cette utilisation peut sembler surprenante pour un coupé sportif, mais elle s’expliquait par sa popularité, sa facilité de conduite relative (pour les versions de base), et l’image moderne et désirable qu’elle projetait. Apprendre à conduire sur une Capri ajoutait sans doute un certain « cool factor » pour les jeunes apprentis conducteurs, un rôle inhabituel et charmant pour une voiture principalement associée au plaisir de conduire.

20. L’Héritage Caché dans les Modèles Futurs de Ford
Bien que la Capri n’ait pas eu de successeur direct, l’expérience acquise par Ford Europe dans son développement et sa commercialisation a une influence sur d’autres modèles. Les leçons apprises sur l’intégration de différents composants, la gestion d’une gamme de moteurs variés, le ciblage d’une clientèle jeune et dynamique, et même l’adaptation aux différents marchés européens ont été réinvesties dans des projets ultérieurs. On peut retrouver des échos de la philosophie Capri dans des voitures comme la Ford Puma de première génération (un petit coupé abordable et stylé) ou même dans l’approche globale de Ford Europe pour créer des voitures avec un certain « fun factor ».
Plus qu’un Coupé, Une Légende aux Multiples Facettes
Explorer ces faits et histoires insolites nous révèle une Ford Capri bien plus complexe et fascinante que l’image populaire ne le suggère. Derrière le coupé sportif stylé et accessible se cachent des batailles d’ingénieurs, des paris marketing audacieux, des adaptations surprenantes, des rêves de prototypes radicaux, et une vie riche et mouvementée sur les routes et les circuits du monde.
Nous avons découvert le secret de son nom de code éphémère, les compromis nécessaires pour les places arrière, la nature de « Frankenstein » de ses dessous, la logique derrière sa suspension arrière « primitive », et même des explorations inattendues dans le domaine des carburants alternatifs. Nous avons soulevé le voile sur les « Capri spéciales » rares, les défis de son exportation aux États-Unis, les subtilités de sa dénomination « S », la genèse précipitée de la RS2600, et des défauts de jeunesse liés à l’étanchéité.
Nous avons voyagé vers des projets avortés de moteurs centraux, nous sommes émerveillés devant les couleurs intérieures audacieuses, nous avons suivi ses traces inattendues en rallye, écouté les rumeurs de versions « allégées » d’usine, décrypté le langage visuel de ses manuels, et compris la fonction cachée de la bosse sur son capot V6. Enfin, nous avons assisté à la fin douloureuse de sa production et perçu son influence subtile sur les modèles Ford qui lui ont réussi.
Chacun de ces 20 points n’est qu’une fenêtre ouverte sur la profondeur de l’histoire de la Ford Capri. Ils montrent que même les icônes automobiles les plus familiales réservent des surprises et continuent de susciter la curiosité. La Capri n’était pas parfaite, elle était le produit de son époque, de ses contraintes et des ambitions de ceux qui l’ont créé. Mais c’est précisément dans ces détails, ces anecdotes moins connues, que réside une grande partie de son charme et de sa légende durable.
Le mythe de la Capri ne s’est pas construit uniquement sur ses lignes ou ses performances ; il s’est nourri de toutes ces histoires, grandes et petites, connues ou insolites, qui ont jalonné sa vie. Et c’est en explorant ces facettes cachées que l’on continue d’être émerveillé par cette voiture qui, décidément, n’a pas fini de nous étonner. La Capri reste une source intarissable de découvertes pour les passionnés, un rappel que derrière chaque voiture de collection se cache un monde d’histoires inattendues.
AUTOMOBILE
Citroën 2CV Pickup : La Deuche se réinvente en utilitaire
Avec sa carrosserie élargie et ses roues tout-terrain, la 2CV Pickup réinvente le style utilitaire

La Citroën 2CV, affectueusement surnommée « la deuche », est une voiture française légendaire qui a marqué l’histoire de l’automobile. Son design simple et utilitaire, associé à sa robustesse et son caractère économique, en a fait un choix populaire pour des générations de conducteurs. Aujourd’hui, un nouveau souffle pourrait être donné à cette icône grâce à une proposition de design pleine d’audace imaginée par ENKA WORLD.
Un mariage entre tradition et modernité

Le concept d’ENKA WORLD réimagine la 2CV comme un pickup élégant et robuste, parfait pour les aventures en plein air. L’extérieur de la voiture est fidèle aux lignes emblématiques de la 2CV d’origine, mais avec une touche résolument moderne. La carrosserie est élargie pour un look plus musclé, et des roues tout-terrain noires ajoutent une touche de sportivité. La couleur noire intense, rehaussée d’accents orange vifs, confère à l’ensemble un caractère unique et audacieux.
L’habitacle de la 2CV Pickup d’ENKA WORLD mêle habilement le charme rétro de la 2CV d’origine aux éléments modernes attendus d’un véhicule contemporain. Les sièges orange vif avec des accents noirs offrent un confort et un maintien optimaux, tandis qu’un petit écran tactile sur la console centrale permet d’accéder aux fonctions essentielles de la voiture. Ce mariage subtil entre tradition et modernité donne à l’intérieur un caractère unique et accueillant.
Si la 2CV Pickup d’ENKA WORLD n’est pour l’instant qu’un concept numérique, elle suscite déjà un vif engouement auprès des amateurs de design automobile et des nostalgiques de la 2CV. Son look à la fois rétro et moderne, sa robustesse et son caractère pratique en font un véhicule idéal pour les aventures en plein air. La question demeure de savoir si Citroën se laissera tenter par cette réinterprétation audacieuse de son icône et donnera vie à ce rêve de pickup 2CV.
Un potentiel commercial certain
Le succès de la Mini Moke, une version pickup de la Mini Cooper, montre qu’il existe un marché pour les véhicules récréatifs de petite taille. La 2CV Pickup d’ENKA WORLD pourrait s’inscrire dans cette tendance et séduire une clientèle à la recherche d’un véhicule unique, élégant et pratique. Sa motorisation électrique pourrait également lui donner un avantage certain en termes d’écoresponsabilité.

Le concept d’ENKA WORLD ne se limite pas à une simple proposition esthétique. Il ouvre également la voie à de nouvelles réflexions sur l’avenir de l’automobile. La 2CV Pickup pourrait être déclinée en différentes versions, avec des motorisations électriques ou hybrides, et des équipements technologiques de pointe. Elle pourrait également être utilisée comme base pour d’autres véhicules utilitaires ou de loisirs.
La 2CV Pickup d’ENKA WORLD est une proposition de design audacieuse et inspirante qui redynamise l’image de la Citroën 2CV. Son mariage entre tradition et modernité, son look unique et ses caractéristiques pratiques en font un véhicule qui pourrait bien séduire un large public. Si Citroën décide de donner vie à ce concept, la 2CV Pickup pourrait devenir une nouvelle icône de l’automobile française.
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