CONCEPTS & RENDUS
DS Super Sport 2026 : L’Héritage de la Déesse Réincarné en Bête de Course ? Nos Concepts Exclusifs
Et si Citroën osait une DS Super Sport en 2026 ? Plongez au cœur de nos concepts exclusifs et explorez comment l’héritage de la Déesse pourrait se réincarner en une supercar hybride féroce. Analyse complète, conception, performances et statistiques d’un rêve automobile français.

Et si Citroën, ou plutôt sa marque premium DS Automobiles, osait l’impensable ? Si, puisant dans l’ADN révolutionnaire de l’iconique DS de 1955, elle a donné naissance à une supercar pour le 21ème siècle ? Une DS Super Sport hybride, prévue pour 2026, capable de marier l’avant-gardisme français à la performance brute. Un fantasme pour certains, une hérésie pour d’autres. Chez Eduardo Benz Design, nous avons laissé nos experts automobiles explorer cette idée folle.
L’automobile française est souvent brillante par son audace, son innovation et son design distinctif. Peu de voitures incarnent mieux cet esprit que la Citroën DS originale, affectueusement surnommée la « Déesse ». Lancée en 1955, elle n’était pas simplement une voiture, mais une vision du futur sur roues, une rupture technologique et esthétique qui a laissé une empreinte indélébile. Alors, imaginer une descendante directe sous la forme d’une « Super Sport » en 2026, c’est toucher à une icône. Mais n’est-ce pas là le propre des grandes marques qui de savoir réinventer leurs mythes ?
L’Héritage de la Déesse : Plus qu’une Voiture, un Mythe Immortel

Pour comprendre l’enjeu d’une « DS Super Sport », il faut se replonger dans la saga de son aïeule. La Citroën DS, présentée au Salon de Paris 1955, a provoqué un véritable séisme.
Design Révolutionnaire : Œuvre du sculpteur et designer Flaminio Bertoni, sa silhouette aérodynamique (Cx de 0,34 – exceptionnel pour l’époque) tranche radicalement avec la production automobile contemporaine. Ses lignes fluides, son pavillon flottant, et ses carénages de roues arrière lui conféraient une allure de navette spatiale.
Innovations Technologiques en Cascade : La DS était un concentré d’ingéniosité :
Suspension Hydropneumatique : Son système de suspension oléopneumatique à hauteur constante offre un confort inégalé et une tenue de route remarquable, s’adaptant au profil de la route et à la charge.
Freinage Haute Pression : Des freins à disque à l’avant (une première sur une voiture de grande série), assistés par le même circuit hydraulique haute pression que la suspension.
Direction Assistée et Boîte Semi-Automatique : Elles sont également alimentées par le système hydraulique, facilitant la conduite.
Phares Directionnels (à partir de 1967) : Les optiques intérieures pivotaient avec la direction, éclairant l’intérieur des virages.
Impact Culturel et Commercial : La DS est rapidement devenue un symbole du génie et du luxe à la française. Adoptée par les chefs d’État (le Général de Gaulle lui doit la vie lors de l’attentat du Petit-Clamart grâce à sa tenue de route exceptionnelle), star de cinéma (« Fantômas se déchaîne », « Le Cerveau », « Retour vers le Futur II »…), elle a marqué son époque.
La Citroën DS en Chiffres (1955-1975) :
Caractéristique | Donnée |
Unités produites | Environ 1 455 746 (toutes versions ID/DS) |
Années de production | 1955 – 1975 |
Concepteur principal | Flaminio Bertoni |
Innovation majeure | Suspension hydropneumatique |
Pays de production | France, Belgique, Royaume-Uni, Portugal… |
Réinterpréter un tel héritage est un défi colossal. Il ne s’agit pas de copier, mais de transposer l’esprit d’innovation et de rupture dans le contexte automobile du 21ème siècle.
DS Automobiles Aujourd’hui : Le Luxe à la Française en Quête d’Identité Forte

Depuis sa séparation de Citroën en 2015 pour devenir une marque à part entière au sein du groupe PSA (aujourd’hui Stellantis), DS Automobiles s’efforce de se positionner comme l’incarnation du luxe et de l’avant-gardisme français. Avec des modèles comme la DS 7, la DS 9, la DS 4 et la DS 3, la marque met l’accent sur le raffinement des matériaux, un design affirmé (souvent inspiré de la joaillerie ou de la haute couture parisienne) et des technologies de pointe, notamment avec sa gamme électrifiée E-TENSE.
Performances Commerciales de DS Automobiles (Tendances Générales)
Les ventes de DS Automobiles ont connu une croissance progressive, notamment en Europe, avec un objectif clair de s’imposer face aux géants allemands du premium. En 2023, par exemple, DS Automobiles a enregistré une progression de ses immatriculations sur plusieurs marchés clés, bien que ses volumes restent plus modestes que ceux des marques établies de longue date dans le segment luxe. Selon les données du CCFA (Comité des Constructeurs Français d’Automobiles), les ventes mondiales de DS Automobiles avoisinaient les 45 000 à 50 000 unités annuelles ces dernières années, avec une forte proportion de modèles électrifiés. Une supercar comme la DS Super Sport pourrait servir de « voiture halo », tirant l’image de toute la gamme vers le haut, même avec des volumes de vente confidentiels.
Nos Concepts Exclusifs : La DS Super Sport 2026 Prend Forme
Alors, à quoi pourrait ressembler cette héritière spirituelle transformée en bête de course ? Nos designers se sont penchés sur la question, en s’inspirant des images que vous avez fournies, imaginant une DS Super Sport pour 2026 (ou 2027, comme le faisant ressortir les plaques de nos concepts).
L’Extérieur : Une Déesse Sculptée pour la Vitesse

Nos concepts révèlent une silhouette de coupé biplace, basse, large et agressive. La couleur rouge vif, rehaussée d’accents dorés discrets, évoque la passion et le luxe.
- Face Avant Imposante : La calandre, réinterprétation moderne des « DS Wings », intègre une signature lumineuse LED affûtée. Le long capot plongeant suggère une motorisation puissante, tandis que les grandes écopes d’air témoignent des besoins en refroidissement d’une mécanique haute performance. On note une fine barre lumineuse dorée qui souligne le regard, un clin d’œil subtil à l’élégance.
- Profil Dynamique : Les flancs sont sculptés, avec des entrées d’air latérales proéminentes pour alimenter le moteur en position centrale arrière (ou pour refroidir les batteries et freins). Les jantes surdimensionnées à branches noires et liseré doré remplissent parfaitement les passages de roues musclés. La ligne de toit fuyante se termine sur une poupe courte et ramassée, typique des supercars.
- Arrière Spectaculaire : C’est peut-être là que l’hommage à la DS originelle est le plus subtil et le plus audacieux. Si les fameux « cornets » de la DS de 1955 ne sont pas reproduits brièvement, la forme des feux arrière, tirés et intégrant des motifs complexes, pourrait en être une évocation moderne. Un grand diffuseur intègre deux doubles sorties d’échappement massifs et une signature « CITROËN DS 2027 » (ou « DS 2027 » sur d’autres vues) affirmant le caractère sportif. La lunette arrière, très inclinée, rappelle la fluidité de son ancêtre.
L’Intérieur : Luxe Avant-Gardiste et Sportivité Raffinée

L’habitacle de notre DS Super Sport conceptuel est un écrin de technologie et de matériaux nobles, où l’artisanat français rencontre la compétition.
- Cockpit Immersif : Le conducteur est au centre de l’attention, avec un volant sportif à méplat intégrant le logo DS (ou Citroën pour ce concept). Derrière, une instrumentation entièrement numérique configurable. La console centrale accueille un écran tactile pour l’infodivertissement et les commandes du véhicule, ainsi qu’un sélecteur de vitesse minimaliste.
- Matériaux Nobles et Finitions Soignées : Le cuir crème ou beige clair contraste avec des inserts rouges et des touches de métal brossé ou de fibre de carbone. Les sièges baquets, offrant un maintien optimal, arborent une broderie « DS SUPER SPORT », présentent l’exclusivité du modèle. La planche de bord épurée, avec ses aérateurs discrets, et l’éclairage d’ambiance créent une atmosphère à la fois high-tech et chaleureuse.
- L’Esprit DS Réinventé : Si la DS original se distinguait par son volant monobranche et son tableau de bord futuriste, notre concept traduit cet esprit par une interface homme-machine intuitive et des détails de design uniques, comme le motif « Clous de Paris » guilloché cher à DS Automobiles, que l’on pourrait retrouver sur certaines commandes.
Sous le Capot : Une « Bête de Course » Hybride Franco-Italienne ?

Une DS Super Sport en 2026 se doit d’être à la pointe de la technologie, en particulier en matière de motorisation. L’hybridation semble incontournable, alliant la noblesse d’un moteur thermique à l’efficacité et au couple instantané de l’électrique.
- Le Cœur Thermique : Au sein de Stellantis, les options existantes. On pourrait imaginer une version affûtée du V6 1.6L PureTech hybride rechargeable qui équipe déjà les modèles les plus puissants de Peugeot et DS (jusqu’à 360 ch). Mais pour un « Super Sport », il faudrait viser plus haut. Pourquoi ne pas rêver d’une collaboration avec Maserati et une adaptation du fabuleux V6 3.0L « Nettuno » biturbo (qui développe plus de 600 ch sur la MC20) ? Une solution plus « raisonnable » pourrait être un V6 développé spécifiquement, ou un 4 cylindres poussés dans ses retranchements, mais l’aura d’un V6 serait plus en phase avec le prestige visé.
- L’Assistance Électrique : Un ou plusieurs moteurs électriques pourraient venir épauler le bloc thermique. Un moteur électrique sur l’essieu avant de créer une transmission intégrale « e-AWD », bénéfique pour la motricité et la performance. Une batterie de capacité significative (15-20 kWh ?) pourrait offrir une autonomie en mode tout électrique pour la ville, respectant l’esprit avant-gardiste et un certain engagement environnemental.
Performances Stratosphériques (Projections) :
Caractéristique | Objectif Projeté pour la DS Super Sport 2026 |
Puissance combinée | 650 – 800 ch |
Couple Combiné | > 800 Nm |
0-100 km/h | Moins de 3,0 secondes |
Vitesse maximale | > 320 km/h |
Autonomie Électrique (WLTP) | 50 – 70 km |
Émissions de CO2 (WLTP) | < 50 g/km (grâce au PHEV) |
- Châssis et Dynamique : L’héritage de la suspension hydropneumatique pourrait être honoré par un système de suspension active pilotée ultra-sophistiquée, offrant un compromis idéal entre confort « DS » et rigueur sportive. L’utilisation massive de fibre de carbone pour la monocoque et la carrosserie serait indispensable pour contenir le poids, malgré l’hybridation. Une aérodynamique active (aileron mobile, diffuseur adaptatif) peaufinerait le comportement à haute vitesse.
Une Place pour une Déesse Rebelle sur Le Marché des Super Sportives ?

S’aventurer sur le terrain des supercars est un pari audacieux. Ce segment est dominé par des noms légendaires.
Principaux Concurrents et Leurs Atouts :
Constructeur | Modèle Hybride Représentant | Atouts Clés | Puissance approximative (ch) |
Ferrari | 296 GTB/GTS | Héritage course, moteur V6 bi-turbo hybride, design | 830 |
McLaren | Artura | Légèreté, technologie F1, châssis carbone | 680 |
Porsche | (Future 911 Hybride) | Ingénierie, polyvalence, image de marque solide | (Participants > 500) |
Lamborghini | Revuelto (V12 Hybride) | Design extrême, moteur V12, exclusivité | 1015 |
Aston Martin | Valhalla | Luxe britannique, design, exclusivité (PHEV V8) | 1012 (cible) |
Pour exister, une DS Super Sport devrait cultiver sa différence :
- Le « French Flair » Ultime : Un design avant-gardiste qui ne copie personne, mêlant audace et élégance sculpturale.
- L’Hyper-Confort Sportif : Une réinterprétation moderne du confort souverain de la DS, même à des vitesses élevées, grâce à une suspension innovante.
- L’Exclusivité Technologique : Des interfaces, des matériaux et des solutions techniques uniques, fidèles à l’esprit d’innovation de la marque.
Les défis seraient nombreux : construire une image de performance crédible face à des géants, justifier un prix qui serait préalablement très élevé (probablement au-delà de 250 000 €), et s’appuyer sur un réseau capable de gérer une clientèle aussi exigeante.
Un Rêve Possible ou une Folie Magnifique ?

Alors, cette Citroën DS Super Sport 2026, est-ce une chimère née de l’imagination de designers passionnés, ou une ambition que DS Automobiles pourrait nourrir ? Dans un monde automobile en pleine mutation, où les cartes sont rebattues par l’électrification et les nouvelles technologies, l’audace pourrait payer.
Une telle machine serait bien plus qu’une simple voiture. Ce serait un manifeste : la preuve que l’automobile française peut encore rêver, innover et faire vibrer la planète avec des créations d’exception. Elle pourrait redéfinir la perception de DS Automobiles, le propulsant au sommet du luxe et de la performance, tout en rendant un hommage vibrant à l’une des plus grandes icônes de l’histoire automobile.
Nos concepts exclusifs le démontrent : l’héritage de la Déesse est si puissant qu’il peut encore inspirer des « bêtes de course » fascinantes. Et si DS existait réellement ? Le résultat pourrait être, au minimum, une folie magnifique. Et qui sait, peut-être le début d’une nouvelle légende.
CITROEN
Saviez-vous que le van préféré des Français pouvait cacher un V8 ? L’histoire secrète du Type H Sport 2026
Il incarne une France décontractée et travailleuse. Mais que se passerait-il si on pulvérisait cette image d’Épinal à coups de V8 Bi-turbo ? Découvrez le Citroën Type H Sport 2026, une créature imaginée par Eduardo Benz Design qui ne transporte pas des légumes, mais qui dévore l’asphalte.

Il y a des images gravées dans l’inconscient collectif français. La Tour Eiffel, le béret, la baguette sous le bras, et, quelque part entre la 2CV et un verre de vin rouge, le Citroën Type H. Sa silhouette inimitable, cette tôle ondulée qui semble avoir été pliée par un artisan zélé, son groin de cochon si caractéristique… Le « Tube », comme on l’appelle affectueusement, est plus qu’un simple utilitaire. C’est la bande-son mécanique des marchés de Provence, le véhicule de l’artisan du coin, et aujourd’hui, le food truck branché qui vend des burgers à 20 euros. Il incarne une France décontractée, travailleuse et fondamentalement sympathique. Maintenant, prenez cette image d’Épinal, et pulvérisez-la à coups de V8 Bi-turbo. C’est la proposition indécente, presque sacrilège, imaginée par Eduardo Benz : le Type H Sport 2026. Une créature qui ne transporte pas des légumes, mais qui dévore l’asphalte.
Plus qu’un Van, une Icône Culturelle Intouchable ?

Lancé en 1947, au sortir de la guerre, le Citroën Type H n’était pas un véhicule, c’était une solution. Avec sa traction avant, son plancher plat et bas, et sa hauteur sous plafond permettant de se tenir debout, il a révolutionné le monde de l’utilitaire. Pendant 34 ans, jusqu’en 1981, sa formule est restée quasiment inchangée, preuve d’un design fonctionnel touchant à la perfection. Il a tout fait : transporté les facteurs, embarqué les gendarmes, servi de bétaillère, et permis à des générations d’entrepreneurs de construire la France des Trente Glorieuses. Son moteur, modeste mais vaillant, n’a jamais eu pour vocation de vous coller au siège, mais de démarrer tous les matins, sans faillir. Le Type H, c’est l’anti-performance, l’éloge de la lenteur productive. Alors, forcément, lorsque l’on évoque l’idée de lui greffer le cœur d’une supercar, on ne profane pas seulement un véhicule, on bouscule un mythe. C’est précisément ce qui rend l’exercice si fascinant. À l’heure où la tendance du « restomod » consiste à sublimer le passé, notre projet va plus loin : il le fait entrer en collision frontale avec un futur fantasmé et furieux.
Quand la Performance S’invite dans l’Utilitaire

Le Type H Sport 2026 est une rupture. Oubliez la tôle ondulée conçue pour la rigidité à bas coût ; place à des panneaux de carrosserie lisses et tendus, interrompus par des ouïes latérales béantes, non pas pour aérer des cageots de poireaux, mais pour gaver en air frais un monstre mécanique. La face avant, bien que conservant un clin d’œil à la calandre proéminente de l’originale, est sculptée pour la vitesse, avec une lame en carbone qui semble lécher le bitume. L’engin est posé au sol, campé sur des jantes surdimensionnées qui remplissent des passages de roue élargis avec une arrogance décomplexée. Chaque ligne, chaque prise d’air, chaque détail a été pensé non pas pour la charge utile, mais pour la charge aérodynamique. C’est la vision d’Eduardo Benz Design : respecter l’ADN d’une icône tout en la propulsant dans une dimension parallèle. Et puis, il y a le cœur du réacteur. Sous le capot court, on n’imagine pas un petit quatre cylindres, mais un V8 Bi-turbo dont le grondement sourd viendrait remplacer le cliquetis familier de l’original. Un bloc que l’on verrait plus volontiers dans une GT italienne ou une berline allemande surpuissante, développant une cavalerie qui se compte non pas en dizaines, mais en centaines de chevaux. La performance revendiquée est purement théorique, mais elle donne le vertige. Spécification Citroën Type H (1968) Concept Type H Sport 2026 (Estimation) Moteur 4 cylindres en ligne V8 Bi-turbo Cylindrée 1.9 L 4.0 L Puissance ~58 ch ~800 ch Couple ~110 Nm ~950 Nm Vitesse Max ~95 km/h > 300 km/h Philosophie Utilité maximale Performance maximale
Un Intérieur entre Cockpit de Chasse et Atelier de Luxe

Si l’extérieur est une révolution, l’habitacle est une réincarnation. Le poste de conduite du Type H originel était un modèle de rusticité : un volant immense et fin, un compteur solitaire, et des sièges aussi confortables que des tabourets de ferme. Pour le Type H Sport 2026, l’inspiration vient de l’aéronautique et de la course. Poussez la portière (qui, bien sûr, n’est plus coulissante mais s’ouvre en élytre), et vous glissez dans un baquet en cuir et Alcantara, surpiqué de bandes tricolores. Face à vous, un volant compact à méplat, bardé de commandes, derrière lequel se niche un écran panoramique faisant office de tableau de bord. La planche de bord, d’une simplicité monacale, intègre un immense écran tactile central qui semble flotter. L’ensemble mêle des matériaux nobles comme le carbone forgé et l’aluminium brossé, créant une atmosphère qui évoque autant l’atelier d’un artisan de luxe que le cockpit d’un avion de chasse. C’est un espace conçu non pas pour enchaîner les livraisons, mais pour enchaîner les virages sur circuit, tout en offrant un niveau de raffinement inouï pour ce qui reste, dans sa forme, un utilitaire.
Le Marché des « Super-Vans » : Un Rêve si Fou que ça ?

Ce concept de van surpuissant peut sembler être un pur délire. Pourtant, l’idée n’est pas totalement nouvelle. Elle puise ses racines dans une culture de la performance où l’inattendu est roi. Ford a régulièrement secoué le monde automobile avec ses « SuperVans » depuis les années 70, des monstres de course cachés sous une carrosserie de Transit. Plus près de nous, le Renault Espace F1 des années 90, avec son V10 de Formule 1 en position centrale arrière, reste un fantasme absolu pour toute une génération. Ces machines n’ont jamais eu de vocation commerciale, mais leur impact sur l’image et la passion est inestimable. Le Type H Sport 2026 s’inscrit dans cette lignée de folie mécanique. Il répond à un désir de niche mais bien réel : celui du « sleeper » ultime, l’engin qui cache un jeu monstrueux sous une apparence (relativement) banale. Qui l’achèterait ? Un collectionneur en quête de l’objet ultime. Un artisan de luxe voulant le véhicule de livraison le plus exclusif de la planète. Ou simplement une marque désirant un « hero car » pour ses campagnes publicitaires, capable de voler la vedette à n’importe quelle hypercar. Véhicule Concept Moteur Puissance Objectif Ford Pro Electric SuperVan 4 moteurs électriques ~2000 ch Démonstrateur technologique, record Renault Espace F1 V10 de Formule 1 ~820 ch Célébration, image de marque Citroën Type H Sport 2026 V8 Bi-turbo ~800 ch Fusion héritage/performance, design
Le Citroën Type H Sport 2026 est bien plus qu’une simple image de synthèse. C’est une déclaration d’amour à l’automobile, à son histoire et à son potentiel infini de réinvention. Il nous rappelle que la passion n’a pas de carrosserie attitrée et que l’audace peut transformer le plus humble des serviteurs en un roi de la route. Citroën ne le construira jamais, et c’est sans doute mieux ainsi. Les mythes sont faits pour rester dans une dimension à part, celle du rêve. Mais le simple fait qu’il ait été imaginé, qu’il existe dans le monde numérique, suffit à prouver une chose : tant qu’il y aura des designers et des ingénieurs pour se demander « et si ? », l’automobile ne sera jamais ennuyeuse. Et un bon vieux « Tube » pourra toujours rêver, le temps d’un concept, de griller la politesse à une LaFerrari.
CONCEPTS & RENDUS
« Trop dangereux pour la route ? » On a imaginé la fiche technique de la 205 Bi-Turbo 2026, et ça fait peur
Au cœur de ce monstre, en position centrale arrière, on trouve un bloc 6 cylindres 2.6L gavé par deux turbos et un e-boost. Puissance totale : 460 chevaux. Le cauchemar des sportives modernes est né

Il y a des voitures qui marquent une génération. Et puis il y a la Peugeot 205. Un mythe. Spécifiquement, son alter ego démoniaque, la Turbo 16. Une bête de rallye conçue pour dévorer le Groupe B, si radicale que sa version de route semblait à peine civilisée. Aujourd’hui, en 2025, alors que l’automobile ronronne au son de l’électrique et s’encombre d’aides à la conduite, une question nous brûle les lèvres : où est passée cette folie ? Cette flamme ? Peugeot ne semble pas prêt à rallumer l’incendie, alors nous l’avons fait pour eux. Nous avons ouvert le garage de nos fantasmes les plus fous pour concevoir la descendante spirituelle que tout le monde attend sans oser y croire : la Peugeot 205 Bi-Turbo 2026. Une machine conçue sans compromis, dont la simple évocation sur papier semble déjà illégale.
Le monde automobile actuel a un problème. Il est devenu raisonnable. Les voitures sont plus sûres, plus propres, plus intelligentes… et souvent, plus ennuyeuses. L’efficacité a remplacé l’émotion. Pourtant, l’appétit pour le frisson mécanique n’a jamais disparu. Il gronde en sourdine, attendant l’étincelle. Des projets comme la Renault 5 Turbo 3E ou la vague déferlante des restomods hors de prix le prouvent : les passionnés sont prêts à tout pour retrouver une connexion brute avec la machine. C’est dans cette brèche que notre 205 Bi-Turbo 2026 s’engouffre. Elle n’est pas une réponse à une étude de marché. Elle est un cri du cœur, un doigt d’honneur au politiquement correct, une célébration du design au service de la performance la plus pure.
Le Cœur de la Bête

Oubliez la conversion électrique paresseuse. Pour honorer la légende, il fallait une mécanique explosive. Au cœur de notre monstre, en position centrale arrière comme sur son aïeule, on trouve un bloc 6 cylindres 2.6L PureTech entièrement repensé. Seul le nom est familier. Gavé par non pas un, mais deux turbocompresseurs séquentiels, il offre une double personnalité terrifiante. Un petit turbo à faible inertie élimine le temps de réponse à bas régime, offrant un couple instantané, tandis qu’un second, plus massif, prend le relais pour catapulter le compte-tours jusqu’à une zone rouge fixée à 8500 tr/min dans un hurlement strident. Mais la modernité apporte sa propre sorcellerie.
Un système micro-hybride 48V n’est pas là pour sauver la planète, mais pour combler le couple et offrir un « e-boost » de 40 chevaux supplémentaires sur simple pression d’un bouton au volant. La puissance est transmise aux quatre roues via une boîte séquentielle à 7 rapports, dont le mode « Confort » est une vaste blague. Chaque passage de vitesse est un coup de fusil, une secousse qui vous rappelle que cette voiture n’est pas votre amie, mais une complice pour commettre des excès de vitesse.
Un Châssis Taillé pour la Guerre, Habillé pour la Ville

Une telle cavalerie serait inutile sans un squelette à sa mesure. La 205 Bi-Turbo 2026 repose sur une coque en fibre de carbone pour la cellule de vie, boulonnée à des berceaux avant et arrière en aluminium. La rigidité est absolue, le poids, une obsession. L’objectif ? Rester sous la barre des 1250 kg. La suspension à double triangulation aux quatre coins, dotée d’amortisseurs pilotés adaptatifs, offre un éventail de réglages allant de « ferme » à « j’ai besoin d’un nouveau dentiste ». Le lien entre cette ingénierie de course et le design est total. La carrosserie est une sculpture fonctionnelle. Les ailes larges ne sont pas un clin d’œil aux kits Dimma des années 80 ; elles sont une nécessité pour abriter des voies élargies et des pneus semi-slicks. Les immenses écopes latérales ne sont pas là pour le spectacle, elles gavent en air frais les radiateurs et l’échangeur de la bête mécanique qui gronde juste derrière vos oreilles. La face avant réinterprète la calandre originelle, mais les phares LED acérées, semblent vous dire « dégagez de la voie de gauche ». Spécification Technique Fantasme Peugeot 205 Bi-Turbo 2026 Moteur 4 cylindres en ligne, Bi-Turbo + e-Boost 48V Cylindrée 1598 cm³ Position Centrale arrière transversale Puissance 460 ch (420 thermique + 40 e-Boost) Couple 550 Nm à 4500 tr/min 0-100 km/h 2.9 secondes Vitesse Maximale 310 km/h (limitée par l’aéro) Poids à vide 1245 kg Transmission Intégrale, séquentielle 7 rapports Châssis Monocoque carbone, berceaux alu
Alors, trop dangereuse pour la route ? En regardant cette fiche technique, la réponse semble évidente. Oui. Cette voiture est une aberration dans un paysage automobile qui cherche à nous protéger de nous-mêmes. Elle est rapide à un niveau qui demande plus qu’un simple permis de conduire. Elle est exigeante, bruyante, et probablement aussi confortable qu’un banc de parc en plein hiver. Mais le vrai danger ne serait-il pas de ne plus jamais oser rêver à de telles machines ? Le danger, c’est un futur sans passion, sans ce « Sacré Numéro » capable de nous donner la chair de poule. Cette 205 Bi-Turbo 2026 est plus qu’une voiture. C’est la preuve que même en 2026, le cœur de l’automobile peut encore battre très, très fort.
CONCEPTS & RENDUS
Citroën 2CV V6 : Pourquoi 98% des puristes vont détester cette voiture (et secrètement en rêver la nuit)
Oubliez la « Deuche » de votre enfance. Un designer a imaginé le restomod ultime : une Citroën 2CV bodybuildée avec un V6 Bi-Turbo. Pour les puristes, c’est un sacrilège. Pour les autres, un fantasme absolu. Plongez dans l’analyse de ce projet fou qui repousse les limites du design automobile

Il y a des images qui arrêtent le temps. Des concepts qui fracassent les certitudes et vous laissent avec une seule question : « Pourquoi ? ». Et immédiatement après : « Pourquoi pas ? ». La création que vous avez sous les yeux est de cette trempe. Oubliez la Citroën 2CV de votre enfance, celle qui bringuebalait sur les routes de campagne avec le bruit caractéristique de son petit bicylindre refroidi par air. Oubliez la voiture conçue pour traverser un champ labouré avec un panier d’œufs sur le siège passager sans en casser un seul. Ce que nous voyons ici est la réincarnation de la « Deuche » après un pacte avec le diable. Une 2CV qui a dévoré une supercar au petit-déjeuner et qui s’est habillée avec les restes. Un monstre bodybuildé, posé au ras du sol, dont le regard circulaire à LED semble vous défier du regard. Et sous le capot, l’impensable : un V6 Bi-Turbo.
Le simple fait d’accoler ces quatre caractères, « V6 », au nom sacré « 2CV » est un blasphème pour toute une génération. C’est le genre d’idée qui déclenche des ulcères chez les collectionneurs et des sueurs froides aux gardiens du temple de l’automobile populaire française. Et pourtant, au-delà du choc initial, une fascination malsaine s’installe. On la déteste, mais on ne peut pas s’empêcher de la regarder.
Le Cri du Cœur (ou de l’Hérésie)

Pour comprendre la haine viscérale que ce projet peut inspirer, il faut revenir à la genèse de la 2CV. Née de la vision de Pierre-Jules Boulanger avant-guerre, le cahier des charges était d’une simplicité révolutionnaire : créer une « Très Petite Voiture » économique, capable de transporter quatre personnes et 50 kg de pommes de terre à 60 km/h. C’était l’anti-voiture, un objet roulant utilitaire pensé pour la France rurale, un outil de liberté plus qu’un symbole de statut. Son design n’était pas une quête de beauté, mais la conséquence directe de sa fonction et de son coût de production minimaliste. La tôle ondulée pour la rigidité, les vitres plates, les sièges façon hamac. Chaque élément transpirait l’ingéniosité frugale.
Alors, forcément, voir cette philosophie piétinée par des ailes larges comme des pistes de décollage, des jantes qui coûtent probablement le prix de dix 2CV d’origine et un spoiler avant agressif qui crie « V6 BI-TURBO » est une agression visuelle et intellectuelle. C’est comme installer un écran plat 8K dans une cabane de berger du 18ème siècle. C’est un contresens total, une trahison de l’esprit originel. La table ci-dessous met en lumière le gouffre qui sépare le mythe de sa réinterprétation radicale. Spécifications Citroën 2CV 6 (1985) Concept « Eduardo Benz » 2CV V6 Bi-Turbo Moteur Bicylindre à plat, refroidi par air V6 Bi-Turbo (estimation) Cylindrée 602 cm³ 3000 cm³ (estimation) Puissance 29 ch 400+ ch (estimation) Couple 42 Nm 500+ Nm (estimation) Philosophie Simplicité, économie, utilitaire Performance, design, provocation Prix d’achat Modeste Astronomique
L’Ingénierie du Désir Inavouable

Et pourtant… une fois le choc de l’hérésie passé, regardez-la à nouveau. Observez la qualité d’exécution. Les hanches musclées qui enveloppent les roues arrière ne sont pas juste vulgaires ; elles suivent une courbe qui réinterprète audacieusement la silhouette si reconnaissable de la 2CV. Les phares ronds, signature absolue de la « Deuche », sont conservés mais transformés en projecteurs à LED, créant un pont stylistique entre hier et aujourd’hui. L’arrière, avec sa double sortie d’échappement centrale et ses feux qui rappellent les créations les plus exclusives, est une pure pièce de design automobile. C’est l’œuvre d’un artiste qui a compris les codes de l’original pour mieux les dynamiter.
Le puriste voit un sacrilège. L’amateur de design et de performance, lui, voit une déclaration d’intention. Il voit l’audace, le fantasme absolu de la « sleeper », cette voiture à l’apparence familière mais aux performances démoniaques. C’est là que le rêve secret commence. Qui n’a jamais imaginé, au volant d’une petite voiture, ce qu’elle pourrait faire avec dix fois plus de puissance ? Ce restomod est la matérialisation de cette pensée interdite. C’est la réponse à une question que personne n’osait poser, et elle est spectaculaire. Elle rejoint le panthéon des réinterprétations modernes qui prouvent que le génie d’un design original peut survivre aux traitements les plus extrêmes.
Un Monstre au Châssis de Guimauve ?

Évidemment, un tel projet relève plus du fantasme de designer (Eduardo Benz) que de la réalité d’ingénieur. Greffer un V6, qui plus est suralimenté par deux turbos, dans une 2CV est une folie technique. Le châssis plateforme d’origine, conçu pour supporter 29 chevaux et non 400, se tordrait comme un réglisse. Tout serait à réinventer : un châssis tubulaire sur mesure, des suspensions triangulées dignes d’une voiture de course, un système de freinage en carbone-céramique piqué à une GT moderne et un tunnel de transmission qui viendrait couper en deux l’habitacle si simple de la 2CV.
Le simple fait de loger le moteur et surtout ses radiateurs serait un casse-tête monumental qui dénaturerait complètement la structure. Mais n’est-ce pas là le propre d’un rêve ? Il n’a pas à être raisonnable. Il doit inspirer. Et cette 2CV V6, aussi irréalisable soit-elle en l’état, nous rappelle que la passion automobile se nourrit de ces « et si ? ».
Cette machine est un paradoxe roulant. Elle est tout ce que la 2CV n’a jamais été : chère, complexe, élitiste et furieusement rapide. Elle heurte les puristes car elle remplace la poésie de la lenteur par la brutalité de la performance. Mais secrètement, dans un coin de leur esprit, même les plus farouches défenseurs de l’authenticité ne peuvent s’empêcher d’imaginer le son de ce V6 au démarrage, la poussée invraisemblable dans ce corps si familier, et le visage des autres automobilistes voyant ce « parapluie à roulettes » les déposer au feu vert. C’est une hérésie, oui. Mais quelle magnifique hérésie.
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