Oubliez vos rêves de licornes, la vraie créature mythique débarque en6, et elle répond au nom de Bugatti Tourbillon. Imaginez un peu : 16 cylindres, 3 moteurs électriques, une vitesse de pointe de 444 km/h (oui, vous avez bien lu), le tout enveloppé dans une carrosserie digne d’un dieu grec sculptdes designers atteints de folie créatrice.
Bon, on vous l’accorde, la ressemblance avec sa grande sœur la Chiron est frappante. Mais ne vous y trompez pas, la Tourbillon n’est pas là pour faire de la figuration. Sous son capot (ou plutôt, derrière son emblématique calandre en fer à cheval), se cache une révolution. Un monstre de 8,3 litres, sans turbocompresseur (parce que qui a besoin d’aide pour respirer quand on est une Bugatti ?), crachant 1 000 chevaux à lui seul. Ajoutez à cela trois moteurs électriques (parce que même les monstres font attention à leur empreinte carbone de nos jours) et une batterie de 25 kWh, et vous obtenez une puissance combinée de 1 800 chevaux.
Accrochez-vous bien, car avec la Tourbillon, le 0 à 100 km/h est expédié en 2 secondes chrono. Vous n’avez pas eu le temps de dire « ouf » ? Normal, la bête sera déjà à 300 km/h. Et si l’envie vous prend d’aller faire un coucou aux nuages, une petite clé spéciale vous permettra de débrider la bête et d’atteindre les 444 km/h.
Mais ne vous méprenez pas, la Tourbillon n’est pas qu’une brute épaisse assoiffée de bitume. Elle sait aussi se faire discrète en mode électrique, avec une autonomie de 60 km. De quoi aller chercher votre baguette de pain (bio, évidemment) sans réveiller le voisinage.
A l’intérieur, c’est l’orgie de luxe et de technologie. Oubliez les écrans tactiles qui vous donnent l’impression d’être dans un vaisseau spatial. La Tourbillon, c’est l’artisanat à l’état pur, avec des cadrans analogiques conçus par des horlogers suisses. Un véritable hommage à l’âge d’or de l’automobile, où le numérique n’avait pas encore envahi nos vies.
Bon, on ne va pas se mentir, tout ça a un prix. Et quand on dit prix, on parle de 3,6 millions d’euros. Mais bon, qui a besoin d’un appartement quand on peut s’offrir une œuvre d’art roulante ?
La Bugatti Tourbillon en quelques chiffres :
- Puissance : 1 800 chevaux
- Vitesse maximale : 444 km/h
- 0 à 100 km/h : 2 secondes
- Autonomie électrique : 60 km
- Prix : 3,6 millions d’euros
L’avis de la rédaction :
Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette bête de course. La Bugatti Tourbillon est une véritable prouesse technologique et esthétique. Un hommage à l’automobile d’exception, qui ravira les amateurs de sensations fortes et de luxe.
Petit bémol : On regrette l’absence d’un porte-gobelet digne de ce nom. Difficile de siroter son champagne Dom Pérignon 2002 en toute sérénité quand on roule à 300 km/h.
Le saviez-vous ?
La Bugatti Tourbillon doit son nom au mécanisme horloger du même nom, réputé pour sa complexité et sa précision. Un choix qui n’a rien d’un hasard, tant la nouvelle création de Bugatti est une véritable prouesse technique.
D’autres constructeurs explorent également la voie de l’hypercar hybride :
- Koenigsegg Regera : Avec une puissance de 1 500 chevaux et une vitesse de pointe de plus de 400 km/h, la Regera est l’une des voitures les plus rapides au monde. Elle utilise un shybride unique appelé « Direct Drive » qui supprime la boîte de vitesses traditionnelle.
- Rimac Nevera : Cette hypercar électrique croate affiche une puissance ahurissante de 1 914 chevaux et peut atteindre 100 km/h en moins de 2 secondes. Elle est également dotée d’une technologie de pointe en matière de batterie et d’aérodynamique.
La Bugatti Tourbillon s’inscrit donc dans une nouvelle ère de l’automobile, où performance rime avec efficience. Reste à savoir si elle parviendra à détrôner ses rivales sur le marché très exclusif des hypercars hybrides. Une chose est sûre : le futur de l’automobile s’annonce électrique et palpitant.
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